David Icke analyse les liens entre l’attaque du 11 septembre 2001 et la mise en place de la tyrannie covidique

Excellente analyse de David Icke sur les liens existants entre la tragédie du 11 septembre 2001 et l’arnaque de l’opération de la covid-19. En effet, l’attaque du 11 septembre 2001 a été réalisée dans le but de préparer le terrain pour la mise en place de la tyrannie covidique. En se servant du prétexte des événements du 11 septembre, les autorités ont commencé à s’attaquer aux droits individuels et aux libertés civiles, dans le but de «protéger» la population. La tyrannie covidique continue tout simplement ce qui a été commencé le 11 septembre 2001 mais de façon beaucoup plus intense et étendue. À VOIR.

Les deux derniers No-Go Zone de Red Ice TV

Dans la première émission, Henrik Palmgren fait l’analyse d’un document du CDC faisant la promotion de camps d’internement pour les personnes à risque de développer la covid-19. Je joins le lien du document en question.

Interim Operational Considerations for Implementing the Shielding Approach to Prevent COVID-19 Infections in Humanitarian Settings

Le film Endgame d’Alex Jones

Ne manquez surtout pas la deuxième partie de ce film où l’agenda des mondialistes était exposé avec beaucoup de justesse par Alex Jones, et ce dès 2007.

Alex Jones présente l’ordonnance du Départment de l’Énergie américain pour réagir à l’urgence climatique au Texas

Alex Jones continue sa couverture de la panne du réseau électrique au Texas, suite au refroissement spectaculaire de ces derniers jours. Il nous apprend que le Département de l’Énergie a, dans son ordonnance du 14 février, inclu des dispositions interdisant que les ressources locales en énergie soient utilisées avant toutes autres ressources externes disponibles, que les ressources utilisées produisent le plus bas niveau possible d’émissions de carbone et que la production d’énergie totale soit limitée en fonction des exigences des lois environnementales en vigueur. Les dispositions de l’ordonnance semblent avoir été rédigées en vue d’être conformes avec l’ordre exécutif de Joe Biden visant à combattre les changements climatiques. Alors que l’ordonnance du Département de l’Énergie est écrite dans un langage juridique, souvent hermétique et technique, l’ordre exécutif de Biden est écrit dans un langage politique avec des termes vagues et généraux, ce qui rend leur interprétation respective difficile en termes concrets. Néanmoins, en prenant connaissance de ces informations, on est amené à se poser la question suivante: Le Département de l’Énergie a-t-il interdit au Texas de prendre tous les moyens possibles et nécessaires pour parer à la situation d’urgence climatique? Cela semble être le cas, puisque l’ordre exécutif de Joe Biden pour contrer les changements climatiques commandait ce genre de politiques. Le Texas a donc été contraint de faire face à ce refroidissement spectaculaire en état incapable de tirer profit de sources d’énergie dites fossiles (charbon, gaz naturel, mazout, etc), car elles émettent du carbone, et ne pouvait pas compter ni sur l’éolien ni sur le solaire parce qu’ils ne fonctionnaient plus en raison du gel. Le Texas devait donc importer de l’électricité des états voisins.

Et ce n’est pas tout. Plusieurs citoyens ont rapporté des cas d’abus flagrants de leur fournisseur d’électricité depuis l’effondrement du réseau. Ils se sont vus facturer des sommes astronomiques, à coups de milliers de dollars. Il y a eu aussi quelques décès et divers incidents conme des incendies, etc. De façon plus générale, la panne du réseau électrique du Texas pose des questions au niveau de la cybersécurité et de la sécurité nationale en général. En Amérique du Nord, on se rappelera des pannes majeures qui ont fait l’histoire comme celles du 9 novembre 1965, des 13-14 juillet 1977 et du 14 août 2003.  Mais la plus célèbre et la plus catastrophique demeure la Tempête de verglas de 1998 qui a affecté le nord-est du continent, mais surtout le Québec. Toutes ces pannes se sont produites dans le même secteur géographique. Le cas du Texas est special puisque normalement les températures y sont assez élevées et qu’il n’y a pas de neige.

Je terminerai en mentionnant que voilà quelques années, la Russie et l’Ukraine se livraient une guerre plus ou moins ouverte, en utilisant parfois les coupures de gaz naturel ou d’électricité comme levier pour faire pression sur le camp opposé. On sait comment cela s’est terminé. Une guerre militaire a fini par se mettre en action sur le sol de l’Ukraine où des rebelles appuyés par la Russie combattaient les forces ukrainiennes appuyées par Washington. Question: Un pays, un groupe ou une entité internationale essaie-t-il de faire pression sur le Texas, ou sur les États-Unis, pour qu’il adopte certaines politiques environnementales, énergétiques, politiques et économiques? On se le demande. Une chose est certaine, c’est que c’est l’habilité à faire face à cette panne électrique au Texas qui va donner le ton pour l’avenir en ce qui concerne l’Amérique. L’électricité est devenue essentielle à nos vies puisqu’elle alimente tout l’électronique que nous utilisons. L’ordre exécutif de Joe Biden est de bien mauvais augure en de domaine, puisqu’il va nous rendre incapables de bien nous défendre contre des cyberattaques sur nos réseaux électriques et d’informations. J’espère sincèrement me tromper mais disons si nous ne changeons pas de mentalité en ce qui concerne la sécurité du réseau électrique, nos chances de survie à moyen terme sont assez minces.

Ken Pereira présente le réseau d’affaires et d’influence de la famille Desmarais

Conférence de presse de Maxime Bernier du 8 octobre 2019

Cette conférence de presse s’est tenue le lendemain du débat en anglais sur CBC. Je vous la présente ici pour signifier et réitérer mon appui à Maxime Bernier et au Parti Populaire du Canada lors des élections fédérales qui auront lieu le 21 octobre prochain. Je tiens à dire certaines choses ici. Tout d’abord, les sondages ne placent pas le Parti Populaire bien bien haut dans les intentions de vote des Canadiens. Ainsi, il est possible que les résultats électoraux du PPC soient plutôt modestes et ne répondent pas aux attentes des candidats et des militants du parti. Mais qu’à cela ne tienne. Bâtir un parti politique est long et ardu. Souvent, cela prend plusieurs années, voire plusieurs décennies avant que les résultats deviennent suffisamment substantiels pour permettre de prendre le pouvoir. Je suis convaincu que d’ici une vingtaine d’années, peut-être avant, le Parti Populaire du Canada sera une force politique majeure au Canada. D’ici là, Monsieur Bernier, les candidats et les militants devront être patients. L’aventure du Parti Populaire ne fait que commencer. Cette aventure mènera éventuellement à l’abolition du socialisme au Canada. La route sera difficile et parsemée d’embûches. Je m’attends donc à ce tous les membres du PPC, des bénévoles jusqu’au chef lui-même, peu importe les résultats des urnes, se retroussent les manches le 22 octobre au matin pour continuer à défendre les droits des Canadiens. Il reste tant de choses à accomplir et l’avenir s’ouvre devant nous. Bonne Fête de l’Action de grâces à tous!

La visite de Greta Thunberg à Montréal et la partition du Québec…

Voici une vidéo du passage de Greta Thunberg à Montréal lors de la Grève Pour le Climat qui se tenait le 27 septembre dernier. Au début de la marche, il y a eu une courte présentation (pour l’essentiel en anglais, ce qui est très significatif) où l’on a pu voir Greta Thunberg être accueillie par quelques leaders des nations autochtones. Les médias étaient présents et ont pu poser quelques questions. Il y aurait beaucoup de choses à dire mais je vais me concentrer sur un point essentiel. On a pu voir lors de cette présentation des membres des communautés autochtones essayer de récupérer le phénomène médiatique entourant Greta Thunberg afin de faire des gains politiques. C’était somme toute assez bas mais prévisible. Apparemment, c’est Greta Thunberg elle-même qui avait demandé à l’origine à ce que les communautés autochtones soient représentées pour l’accueillir. Très bien. Mais il y a quelque chose qui m’inquiète ici. Durant la cérémonie, le chef Perry Bellegarde de l’Assemblée des Premières Nations a remis une veste à Greta Thunberg, parmi quelques autres présents qu’on lui a offert. Dans l’Antiquité, la remise du manteau ou de la veste avait une portée symbolique considérable et cette tradition s’est perpétuée jusqu’à aujourd’hui. En effet, dans le Golf professionnel par exemple, une veste est remise parfois au gagnant d’un tournoi. Lorsque celui-ci la reçoit, il l’enfile. Aussi, plus tard dans la journée, Greta Thunberg devait recevoir, des mains de la Mairesse Plante, les Clés de la Ville de Montréal. Avoir les clés de la ville, ça signifie y entrer et en sortir comme on veut et y faire toutes sortes de choses intéressantes sans craindre d’être inquiété. Encore là, il s’agit d’un symbole fort que l’on ne peut ignorer.

Or, la Mairesse de Montréal, Valérie Plante, qui est une ardente défenderesse du dossier des changements climatiques, a une vision pour Montréal très favorable aux autochtones. En effet, elle considère que Montréal est un «territoire non cédé» aux Français par les autochtones. Dans cet esprit, elle a décidé de rebaptiser une rue de Montréal, la rue Amherst, avec le nom mohawk Atateken, un nom qui ressemble aux mots français «attaque» ou anglais «attack». Elle a aussi annoncé la création d’un parc dans l’Ouest de l’île de Montréal, le Grand parc de l’Ouest, reliant différents parcs déjà existants pour la plupart. Ce qui est particulier ici, c’est que ces parcs se trouvent dans l’Ouest de l’île, donc dans le secteur géographique qui est attenant à la partie de la Rive Nord où l’on retrouve Oka…et Kanesatake. Dans cette partie de la région de Montréal, on retrouve incidemment plusieurs clubs de golf et on se rappelle tous que c’est en raison d’un club de golf que la Crise d’Oka a commencé.

J’en viens au questionnement suivant. Est-ce que ça se pourrait que la Mairesse de Montréal, Valérie Plante, soit en train de se servir de la cause des changements climatiques pour essayer de commencer un processus par lequel une partie du territoire de Montréal serait cédé aux Amérindiens? La question se pose. L’empressement des nations autochtones de faire de Greta Thunberg leur porte-parole en est une bonne indication. Comme ils flairent la bonne affaire, ils embarquent sans se poser de questions et sans réfléchir. On peut peut-être penser que la visite de Greta Thunberg à Montréal était en fait une opération de communication visant à préparer les esprits des citoyens à accepter la partition de Montréal. À cet égard, le Premier Ministre du Québec, François Legault, commence déjà à subir des pressions, de Québec Solidaire entre autres, pour qu’il accepter le principe de partition. Ces pressions font fait suite aux excuses du Premier Ministre Legault présentées aux Amérindiens mercredi dernier en réponse à des allégations de discrimation dont les Amérindiens feraient l’objet. Mais il n’est jamais bon de s’excuser en politique. Cela envoit un signal de faiblesse et un énorme prix politique s’en suit la plupart du temps. D’ailleurs, le bal avait été lancé voilà quelques semaines par le Maire d’Oka, Pascal Quevillon, lorsqu’il s’était excusé aux grand chef Serge Simon pour des déclarations concernant la réserve de Kanesatake. Lors de la mêlée de presse qui a suivi cette réconciliation, on avait pu voir le Maire Quevillon et le grand chef Simon souriants et décontractés. Mais il y a fort à parier que ce sera de courte durée pour le Maire d’Oka et qu’il en viendra à regretter cette décision. Les Québécois ont la manie de toujours s’excuser pour tout et pour rien, même quand ils ont raison et qu’ils n’ont rien à se reprocher. Et ce qui est particulièrement intéressant dans ce cas-ci, c’est que le conflit entre les deux hommes avait éclaté justement en rapport avec la cession de territoires aux Mohawks que voulaient effectuer un promotteur immobilier.

C’est un dossier à suivre. Lorsque l’on ne se tient pas debout dans la vie, que ça soit pour les peuples ou les individus, on en paye toujours le prix. Comment voulez-vous que l’on réalise la souveraineté du Québec si l’on est même pas capable de se faire respecter sur notre territoire? La visite de Greta Thunberg a permi à bien des gens d’avancer leurs pions sur l’échiquier. C’est à nous maintenant de faire en sorte que nous ne soyons pas mis en échec et mat. Je joins deux vidéos d’analyse du phénomène Greta Thunberg, l’une de Nomos-TV et l’autre de Red Ice TV.

Timothé Vorgenss présente (en anglais) le mouvement des Gilets Jaunes sur Red Ice TV

 

Conférence de presse du Président Trump sur l’Accord de Paris

Je suis ravi que le Président Trump ait décidé de sortir de l’Accord de Paris. Bon débarras. Encore une fois, revoyons les données scientifiques de base qui permettent de comprendre comment ce qu’on appelle les «changements climatiques» est une fraude sans précedent dans l’histoire. On essaie de nous faire croire que le CO2 émis dans l’atmosphère serait responsable d’une hausse de la température à l’échelle planétaire. Or, le CO2 est un gaz. En physique et en chimie, il est admis que pour que la température monte dans un système donné, cela prend une source de chaleur ou une force quelconque qui agit sur lui. Sur cette Terre, la source de chaleur principale qui influence la température est le soleil. Chacun peut vérifier cela facilement. Selon qu’il fasse jour ou qu’il fasse nuit, selon les saisons et l’endroit où l’on se trouve sur la planète, il y a des écarts importants de température. Au centre de la Terre se trouve également du magma en fusion, qui peut être une source de chaleur supplémentaire. La Terre se trouve dans un système planétaire, qui lui se trouve dans une galaxie quelque part dans l’univers. La Terre, avec son champ magnétique, entre en interaction avec les autres corps célestes et subit les forces magnétiques et électromagnétiques que ces corps produisent. Dit simplement, le climat sur une planète est la résultante de toutes ces forces. De prétendre qu’un gaz a la capacité de faire augmenter la température à la surface d’une planète est absurde. La température immédiate ressentie dépend essentiellement du rayonnement au sol. L’augmentation des particules de CO2 dans l’atmosphère devrait par principe bloquer davantage de rayonnement solaire et donc favoriser la baisse de la température…Mais on nous dit que la température augmente! «L’effet de serre» que l’on nous vend est le contraire de la vérité. Une couche de gaz plus épaisse, plus compacte autour de la Terre diminue le rayonnement au sol et donc diminue la température globale.

Depuis que la Terre existe, il y a toujours eu des «changements climatiques», puisque les forces auxquelles la Terre était soumise ont constamment changé au cours de son histoire. Ces changements n’avaient rien à voir ni avec le pétrole ni avec le CO2. Je crois que vous avez compris que ce qui est en jeu ici, c’est l’extortion de sommes d’argent importantes que les pays occidentaux devront payer aux pays dits en «développement» pour compenser la pollution qu’ils causent. Le système des crédits de carbone est une vaste entreprise de transfert de richesse des pays développés vers les pays du Sud. En d’autres termes, on va se faire voler nos richesses par des pays et des peuples qui ne produisent pas de richesses ou qui n’en sont pas capables. Les traités internationaux sur les «changements climatiques» ne sont pas autre chose que l’établissement d’un système de bien-être social planétaire dans lequel les pays occidentaux, riches et développés vont faire des chèques à des pays qui ne font aucun effort pour se prendre en main, qui sont corrompus, qui n’encouragent pas le développement économique, etc.

Le Président Trump a pris la bonne décision. Dans sa conférence de presse, il évoque la possibilité qu’un nouvel accord puisse voir le jour, qui serait plus juste pour les États-Unis. Le problème, c’est qu’il n’y aura jamais d’accord «juste» dans le contexte d’une manipulation aussi grossière, d’un mensonge aussi flagrant où la malhonnêteté de ceux faisant la promotion d’une telle mascarade ne peut être plus claire. J’implore donc le Président de renoncer complètement à travailler sur une nouvelle entente pour se concentrer à trouver des solutions pour prendre soin de l’environnement des États-Unis par le biais par exemple de nouvelles technologies, de nouvelles techniques de productions, etc. Nos richesses nous appartiennent. Ne laissons personne nous les prendre. Je vous laisse sur la conférence de presse du Président Trump.