Greg Reese résume l’attaque finale du Nouvel Ordre Mondial sur la race humaine

Ken Pereira analyse la destruction de l’Armée américaine comme dernière étape vers la chute des États-Unis

DERNIÈRE ÉTAPE – DESTRUCTION DE L’ARMÉE AVEC KEN PEREIRA

Le film Endgame d’Alex Jones

Ne manquez surtout pas la deuxième partie de ce film où l’agenda des mondialistes était exposé avec beaucoup de justesse par Alex Jones, et ce dès 2007.

Joe Imbriano présente la possibilité que des moustiques soient inséminés avec la malaria

Alexis Cossette-Trudel fait le point sur la pandémie et le Nouvel Ordre Mondial (19 juillet 2020)

Nicolas Sarkozy, le Nouvel Ordre Mondial et la Libye…

Il appert que Nicolas Sarkozy nous avait donné un avant-goût des bouleversements que nous vivons présentement. Durant cet extrait de deux discours (la première vidéo), le premier tenu en janvier 2009 et l’autre en mars 2012, Sarkozy y va de déclarations incroyables. Pour lui, l’année 2009 serait l’année fondatrice d’un « Nouvel Ordre Mondial », d’un « nouveau capitalisme », auxquels « personne ne pourra s’y opposer ». Aussi, il continue en disant que dans le monde « les forces au service du changement sont considérablement plus fortes que les conservatismes et les immobilismes ». « La France plaide pour un Nouvel Ordre Mondial ». Sarkozy termine son discours de 2012 en pensant à « l’étrangeté de cette journée »… Or, je me souviens pertinemment que le colonel Kadhafi avait averti l’Occident que tout effort de déstabilisation de la Libye finirait immanquablement par un flot incontrôlable d’immigrants, de réfugiés et de clandestins qui viendraient envahir l’Europe, de plusieurs millions d’individus. On peut l’entendre là-dessus dans la deuxième vidéo. Aussi, il paraîtrait que le colonel utilisait l’immigration comme moyen de chantage sur l’Europe, alors que celle-ci mettait de la pression sur la Libye pour qu’elle contrôle davantage les mouvements de population vers les côtes occidentales. Un traité signé le 30 août 2008 entre la Libye et l’Italie prévoyait que la Libye ferait des efforts pour limiter ces mouvements, ce qui a permis d’améliorer la situation de façon marquée, jusqu’au renversement du dictateur. Kadhafi était le verrou qui empêchait cette immigration incontrôlée de se déverser. Aujourd’hui, elle arrive. Ceux qui en font parti, on les appelle des « migrants ». Et le gouvernement de Sarkozy de l’époque et celui de Barack Obama ont contribué à renverser ce régime qui nous protégeait jusqu’à un certain point. Maintenant, on se demande ce que nos leaders ont à proposer pour nous aider à régler ce problème. Le « nouveau capitalisme » auquel faisait référence Nicolas Sarkozy a un visage bien hideux et les perspectives qu’il ouvre sur le monde de demain sont effroyables. Beaucoup d’observateurs ont mentionné que des projets pétroliers, gaziers et de pipelines pourraient être à l’origine de la décision politique de renverser Kahdafi en Libye et Assad en Syrie. Peut-être. Mais la question qui demeure est celle-ci: Qui va nous protéger de ces hordes de réfugiés maintenant qu’ils sont chez-nous, alors que ce sont nos leaders eux-mêmes qui les invitent à venir ici en acceptant de les accueillir?

Entrevue avec Pierre Hillard, auteur de « Chroniques du mondialisme »

G. Edward Griffin présente le monde de Cecil Rhodes

Selon les informations présentées ici, le richissime Cecil Rhodes aurait créé une société secrète au XIXième siècle. Le but de cette société aurait été à l’origine de propager les valeurs de l’empire anglo-américain au-delà de ses frontières. Il l’aurait créé en s’inspirant notamment des Illuminés de Bavière, fondée en 1776 par Adam Weishaupt, et sur les Jésuites. Après la Deuxième Guerre Mondiale, le but de la société secrète aurait changé: Il fallait maintenant établir un gouvernement mondial. Ce genre d’organisation est passé maître dans l’art de manipuler tous les partis politiques actifs dans un état afin de contrôler l’activité politique elle-même et la neutraliser. Pour ce faire, elle cible les « centres de pouvoir » et les institutions qui, à leur tour, contrôlent les individus qui les fréquentent ou qui sont sous leur influence. Selon l’auteur, Bill Clinton serait partie prenante de cette société.