JOIGNEZ LA RÉSISTANCE ET LE COMBAT CONTRE LA TYRANNIE MONDIALISTE AFIN DE DÉFENDRE LA CIVILISATION, LA TRADITION, LA LIBERTÉ ET LA MÉDECINE…AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD!
Il me fait plaisir d’accorder de nouveau la parole à l’éditeur et blogueur Daniel Laprès, suite à la censure dont il a fait l’objet sur Facebook. L’entrevue suivante continue le propos et l’analyse commencés dans une entrevue antérieure accordée à l’animateur Max Bradette, sur la question du niqab, des élections fédérales et autres sujets. Lors de l’entrevue, Daniel Laprès mentionne les travaux de recherche sur le terrorisme et la sécurité de l’organisme TSEC Network. Je vous propose deux articles de leur site web, ainsi que l’article original du Journal de Montréal qui complètent et documentent les informations présentées par M. Laprès. Au tout début de l’entrevue, on peut entendre le Maire de la ville de Québec, Régis Labeaume, affirmer l’obligation pour les immigrants de respecter les valeurs de la terre d’accueil, chose que l’on entend pas très souvent de la part de nos élus.
Cette entrevue d’une heure avec Marc Lebuis sur les ondes de Secure Freedom Radio est réellement complète. Elle fait le tour des différents éléments à comprendre lorsqu’il est question de la montée de l’islamisme en Amérique du Nord et elle met en contexte le Projet de Loi 59 sur les discours haineux que propose d’adopter le gouvernement de Philippe Couillard dans la province de Québec. Je vous propose également deux articles complémentaires sur le sujet, un du site web Postedeveille mettant en lumière la nébuleuse islamiste autour d’Adil Charkaoui, ainsi qu’un article de Salim Mansur sur le Projet de Loi 59.
Le propos de ce livre est d’informer les Américains et tous les citoyens du monde sur la campagne de désinformation et de propagande qui entoure tout de qui touche à l’islam. Nous sommes l’objet d’une guerre de l’information visant à nous cacher la nature réelle des faits et gestes des musulmans, de l’immigration musulmane et de tout ce qui est « islamique ». Loin d’être de simples expressions « culturelles » ou « sociales », les actes des musulmans sur nos territoires révèlent des intentions de conquête et de domination pour imposer la charia et un régime islamique. Ce sont des actes de djihad. Les médias, les politiciens de gauche, les organisations marxistes et communistes, les grandes corporations et familles d’industriels nous abreuvent de mensonges pour nous cacher la vérité sur l’islam. Durant cette excellente entrevue réalisée au micro de Frank Gaffney, Stephen Coughlin passe en revue plusieurs thèmes sur le sujet.
Cette entrevue avec Geert Wilders est très intéressante. Elle permet de clarifier le diagnostic que nous devons faire en ce qui concerne l’islamisation des pays du monde non-musulman. Certains activistes politiques identifient par exemple la charia ou l’islamisme comme étant le système totalitaire entraînant les musulmans vers la radicalisation. Ils différencient ainsi la charia de l’islam lui-même, qui lui serait bénin. Or, ce n’est pas le bon diagnostic. C’est l’islam qui est le problème. L’islam n’est pas une religion de paix, c’est un programme militaire de conquête et c’est exactement ce que dit Geert Wilders dans cette entrevue. Voyez-vous, la charia n’est que l’application concrète du programme militaire de l’islam. C’est donc une perte de temps que de combattre la charia sans combattre l’islam lui-même, puisque c’est l’islam qui mène à la charia. Le problème que nous vivons dans nos pays non-musulmans est que des individus de religion musulmane viennent de l’étranger, par le biais de l’immigration ou du statut de réfugié, pour nous imposer une religion qui n’est pas la nôtre et qui n’est pas compatible avec notre société. Bravo à Geert Wilders pour la précision de son diagnostic et pour le combat qu’il mène pour la liberté.
Un groupe vient de faire paraître un manifeste sur internet visant à dénoncer les avancées de la charia et de leurs supporteurs au Québec, ainsi qu’à mettre en place les moyens d’action pour organiser une réplique. Leur site web présente le manifeste ainsi que les moyens pour se joindre au groupe. Une bonne initiative pour défendre l’identité québécoise dans un monde marqué par les avancées des totalitarismes de tout genres.
N.B. J’ai d’abord publié ce billet en tant qu’article régulier. Après réflexion, j’ai décidé de l’inclure dans mon texte en développement sur l’occupation de l’Occident. Il complète bien l’ensemble des autres éléments que j’essaie de développer dans cette série. (31 janvier 2015)
Un reportage récent de Radio-Canada concernant notre approche pour lutter contre le terrorisme a attiré mon attention. Je joins le lien en bas de page. Une courte vidéo accompagnant le texte écrit du reportage met en lumière le malaise que plusieurs peuvent ressentir face à cette question. On y voit un policier, nous dit-on, donnant une conférence au Québec à d’autres policiers sur le phénomène de la radicalisation des musulmans et sur les moyens de détecter ceux qui peuvent s’inscrire dans cette mouvance. Or, le policier donnant la conférence est visiblement originaire du Moyen-Orient. Vous me direz peut-être que l’origine ethnique d’un conférencier n’a rien à voir avec le sujet dont il est question. En ce qui touche la charia, l’islamisme, le djihad ou la radicalisation, peu importe comment on appelle ce phénomène, je crois que cela a une grande importance. Car il y a plusieurs personnes au Canada et aux États-Unis, qui sont des nationaux, des de souche, dont les ancêtres sont ici depuis plusieurs générations, qui peuvent faire ce travail sûrement tout aussi bien que le conférencier que l’on nous montre ici (qui n’est pas nommé en passant). Je n’enlève rien à la compétence de ce dernier cela dit. Mon point est qu’il y a un manque flagrant de reconnaissance envers les forces vives de la communauté patriote québécoise, canadienne et américaine. Au lieu de faire appel à des gens d’origine arabo-musulmane pour expliquer aux policiers en quoi consiste le phénomène de la radicalisation, les forces policières pourraient donner l’opportunité à des Québécois comme par exemple l’éditeur du site Poste de veille ou encore à Marc Lebuis du site Pointdebasculecanada. Au Canada-Anglais, des gens comme Tarek Fatah et Salim Mansur, qui sont musulmans, pourraient s’acquitter de cette tâche aussi, puisque leur respect des valeurs séculières, humanistes et occidentales n’est plus à démontrer. En Europe, le blogueur vidéo Aldo Sterone, un Algérien arabo-musulman, est une excellente référence pour comprendre le phénomène de l’islamisme de l’intérieur des sociétés qui le produisent. Aux États-Unis, quelqu’un comme Stephen Coughlin a fait un travail remarquable sur le Coran et l’idéologie islamiste. Après quelques temps passés au Pentagone à faire exactement cela, il a été mis de côté parce que l’on jugeait ses opinions non conformes avec l’agenda politique du gouvernement. Andrew Bostom est aussi quelqu’un ayant les compétences pour faire un tel travail. Je me dois également de mentionner le travail remarquable de l’écrivaine et critique de la politique américaine Diana West. Ses efforts pour identifier les résurgences de la pensée communiste aujourd’hui, se manifestant sous la forme de l’islamisme, ont produit un livre absolument exceptionnel intitulé American Betrayal, qui est une lecture obligée pour nos leaders publics. J’ai bien peur que peu d’entre eux ne l’ont lu cependant. Et ce ne sont ici que quelques exemples.
En passant, je profite de l’occasion pour mentionner l’existence d’un document complet et détaillé sur l’infiltration de nos sociétés occidentales par les Frères Musulmans, réalisé par le Center for Security Policy. On peut retrouver leur excellent travail, une présentation vidéo en dix chapitres ici, en suivant ce lien: The Muslim Brotherhood in America. Auparavant, ils avaient réalisé un document tout aussi étoffé sur l’implantation de la charia en Amérique du Nord: Shariah: The Threat to America.
En définitive, curieusement, les forces policières dans le monde occidental ont la manie de ne pas faire confiance aux locaux du coin. Ils préfèrent s’en remettre à des étrangers dont on ne connaît ni les allégeances ni les convictions ni le passé. Ils ont tendance aussi à ne pas tenir compte de la religion elle-même dans le processus pour n’arrêter leur regard que sur les comportements. C’est pourquoi je considère qu’une telle attitude ne peut mener qu’à la ruine de nos sociétés puisque, en quelque sorte, on remet les clés de la ville à nos ennemis. Et ce genre de dérive n’a pas lieu qu’au Canada mais dans plusieurs endroits dans le monde également. Dans les conditions actuelles, la stratégie policière sera un échec complet. Il ne ne faut pas être un spécialiste pour le comprendre. Cette manie à essayer à tout prix de plaire à nos ennemis pour atteindre je ne sais quel objectif stratégique rappelle à la mémoire, malheureusement, certaines scènes du célèbre film Casablanca dans lequel on pouvait voir le chef des forces nazies, le major Strasser, s’amuser comme larrons en foire avec le chef de la police locale, le capitaine Renault. L’intrigue du film se passe au Maroc lors de l’occupation du pays par le régime de Vichy. Les implications d’une telle proximité avec des puissances ennemies ne sont plus à démontrer. Il y a péril en la demeure. Ce qui est fondamental à comprendre ici est que nos élites ne peuvent comprendre que le problème de l’islamisme ne pose pas qu’en termes de terrorisme. Celui-ci n’est qu’un tout petit aspect du problème. En fait, les dommages matériels qu’une société peut subir en raison du terrorisme sont bien inférieurs en conséquences aux dommages psychologiques et spirituels causés par l’infiltration de nos institutions par les forces islamistes. Les dommages immatériels sont irréparables. Lors d’un texte précédent, j’ai eu l’occasion déjà de préciser ces notions. Alors, quand allons-nous finir par comprendre le danger qui nous guette? « I’m so shocked, shocked… » Suite au reportage de Radio-Canada, je joins une entrevue que Tarek Fatah a accordée au réseau SunNews en décembre 2013. Il nous informait alors qu’un imam radical de la région de Toronto, du nom de Said Rageah, occupait le poste, croyez-le ou non, de conseiller pour la GRC sur les questions religieuses. C’est là qu’on est rendu…