Reportage sur la Tombe du Visiteur, retrouvée sur le site de Gizeh

Ce reportage fait état de la découverte d’un sarcophage sur le site de Gizeh en Égypte. Selon les sources présentées ici, il s’agirait des restes d’un voyageur extra-terrestre qui aurait visité notre monde voilà dix mille ans environ et qui aurait enseigné son savoir à l’humanité. Les thèses avancées ici confirment celles développées par Georges Vermard et Mathieu Laveau dans cet article précédent sur la qualité exceptionnelle des pyramides de Gizeh, qui les rendent incompatibles avec les théories officielles des égyptologues patentés. Vous pourrez reconnaître en voix « off » le chroniqueur et journaliste Christian Page.

Entrevue avec Alexeï Pouchkov, président de la Commission des Affaires Étrangères de la Douma

C’est toujours la même histoire. Lorsque l’Occident intervient militairement quelque part sur la terre, on nous dit toujours que c’est pour « protéger les populations civiles, défendre les droits de l’homme, défendre la démocratie, etc ». Or, il est de plus en plus évident que c’est plutôt pour des intérêts matériels qu’il le fait. Les médias occidentaux sont devenus des médias de l’Union Soviétique, de propagande, où les faits sont déformés systématiquement. Dans un texte précédent, je vous disais justement que le rideau de fer s’est renversé. C’est nous maintenant qui vivons en Union Soviétique. Par exemple, comment cela se fait-il qu’aucun média occidental n’ait relevé que le chef de la sécurité du nouveau gouvernement d’Ukraine est un des fondateurs d’un parti néo-nazi ukrainien? Comment cela se fait-il que l’on nous parle pas des snipers qui ont fait feu autant sur les policiers que sur les manifestants à la Place Maidan? Big Brother a pris le contrôle de l’Occident. On ne nous raconte plus que des mensonges. Attention, nous vivons des moments dangereux.

Diana West sur quelques facettes du totalitarisme

Exceptionnellement à la barre de l’émission Secure Freedom Radio en remplacement de Frank Gaffney, Diana West revient en compagnie de ses deux invités sur certains sujets comme la présence américaine en Afghanistan, l’infiltration d’agents soviétiques aux États-Unis dans les années trente, la nature réelle de l’Union Européenne, qui est tout à fait soviétique dans sa forme, ainsi que sur le traitement accordé aux crimes du communisme versus ceux du nazisme. En effet, les médias et les livres d’histoire passent sous silence les crimes du communisme, ou les banalisent, alors qu’ils sont en fait, en nombre en tous cas, pires que ceux du nazisme. Bonne performance de Diana West.

Making Sense of EU Politics

L’affaire Roberge et ses conséquences pour le renseignement québécois

L’affaire Roberge a porté un dur coup aux forces policières du Québec ces dernières semaines. Pour ceux qui ne le sauraient pas, rappelons que Benoît Roberge est ce policier du Service de Police de la Ville de Montréal (SPVM) qui aurait accepté des pots-de-vin d’organisations criminelles en échange de renseignements. Comme l’avait déclaré le directeur de la Police de Montréal, Marc Parent, à l’annonce de l’arrestation du policier: « On s’est senti trahi ». Et pour cause. Un enquêteur haut placé dans la structure hiérarchique de ce corps policier, qui vend des renseignements au crime organisé, quand on dans le métier et qu’on essaie de faire son travail, ça fait mal. On comprend donc le désarroi que peuvent ressentir les corps de police québécois. Mais je crois qu’il faut également prendre en considération le désarroi d’une autre catégorie de québécois: les citoyens en général. En effet, qui va parler à la police maintenant? Qui va partager de l’information avec les corps policiers en ayant en tête que l’agent à qui un citoyen s’adresse est peut-être un agent double pour une organisation criminelle? Par ailleurs, cette affaire fait ressortir aussi le problème des fameux « programmes de rapprochements » avec les communautés musulmanes. Ces programmes sont mis en place par des corps policiers ou des partis politiques pour, comme le nom l’indique, rapprocher des institutions occidentales de communautés islamiques ou même islamistes. Les deux groupes partagent du renseignement et essaient de mieux se comprendre et collaborer pour éviter des attaques terroristes. Ce n’est pas une mauvaise idée en soi mais néanmoins ces initiatives mettent les policiers dans des situations vulnérables où ils peuvent facilement être corrompus par des éléments du crime organisé arabo-musulman ou par des organisations terroristes et devenir ainsi des agents doubles pour ces groupes. Donc, je répète ma question, qui va parler aux policiers maintenant?

Cette problématique s’amplifie lorsque l’on considère la concentration du renseignement dans le monde moderne. Suite à l’invention de l’ordinateur et des banques de données, des caméras de surveillance et de tout l’appareillage de type « Big Brother » dont on est entouré, une masse incroyablement dense d’informations est stockée dans un nombre de lieux assez restreint et un nombre limité de personnes y ont accès. Pour donner un exemple classique, en Union Soviétique, pour surveiller la population, le KGB devait placer physiquement des espions dans chaque café, librairie, usine, etc. Les dissidents étaient détectés un à un de façon ardue. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Quelqu’un peut établir la liste de tous les dissidents ou citoyens jugés indésirables pour un quelconque groupe d’intérêts à partir d’un ordinateur. S’il a accès par exemple aux fichiers de la police ou même à la base de données de réseaux sociaux comme Facebook par exemple, c’est assez simple à faire. En somme, là où je veux en venir, est que loin d’avoir produit une société plus sécuritaire, la société de type Big Brother nous a en fait rendus tous plus vulnérables. Nous vivons maintenant dans un monde extrêmement dangereux. Le renseignement est tellement concentré qu’il suffit qu’une organisation criminelle ou terroriste ait un agent à l’intérieur de la machine pour produire un dommage irréparable. Si vous avez vu le dernier film de James Bond, Skyfall, vous vous souvenez peut-être de cette scène où le personnage du vilain se trouve dans une salle, entouré d’ordinateurs. Alors que James Bond est retenu prisonnier, le vilain lui déclare pouvoir, à volonté, accéder au système bancaire et le faire planter, prendre le contrôle d’un satellite, de la bourse, d’armements militaires, etc. Ça donne une idée du problème auquel nous sommes confrontés avec la concentration du renseignement. En permettant cette concentration, nous avons en fait rendu la tâche beaucoup plus facile aux organisations criminelles de prendre le contrôle des sociétés. Ils ont moins d’efforts à faire qu’auparavant. On ne connaît pas toutes les ramifications de l’opération d’agent double de Roberge mais une chose est sûre, il est possible que ce ne soit que la pointe de l’iceberg. Des indices s’accumulent sur les forces policières québécoises qui laissent croire à un certain degré de corruption et de désagrégation des bonnes moeurs déontologiques. Mentionnons par exemple le cas d’un autre « taupe » du SPVM, Ian Davidson, qui vendait des informations lui aussi au crime organisé, le cas de Claude Aubin, pour les mêmes raisons, le cas de ce citoyen de Trois-Rivières, Alexis Vadeboncoeur, qui a été battu apparemment sans raison par des agents de la Sûreté du Québec à Trois-Rivières, le cas similaire de Norbert Mestenapeo sur la Côte-Nord, l’arrestation gratuite du journaliste du Journal de Montréal Éric-Yvan Lemay, qui ressemblait davantage à une tentative d’intimidation et d’humiliation, le harcèlement et l’intimidation dont aurait été victime Jason Gabriel, un résident de Kanesatake, sont quelques exemples pouvant laisser croire qu’une certaine portion des forces policières québécoises a pu être tournée, à son insu, contre les citoyens. Les individus considérés dissidents ou marginaux peuvent ainsi facilement être transformés en terroristes ou en criminels lorsque les policiers chargés des enquêtes sont eux-mêmes, parfois, des criminels, des agents doubles ou corrompus.

Au final, l’affaire Roberge risque de faire autant de dommage au renseignement québécois que l’affaire Snowden a pu en faire au renseignement américain. Ce sont deux cas différents mais les conséquences au fond sont les mêmes: perte de confiance, sources de renseignement compromises, opérations sabotées, etc. Les opérations d’infiltration ou d’agents doubles à la Roberge ou Snowden réalisent le vieux rêve du communisme, à savoir détruire toute opposition en transformant tout citoyen en criminel potentiel. Je ne sais pas ce que vous en pensez mais moi, ça ne me rassure pas du tout.

Double jeu et manipulations des services secrets allemands: Le cas de l’Algérie et du FLN

La chaîne de télévision Arte a diffusé un documentaire le 22 janvier dernier sur l’indépendance de l’Algérie et le rôle joué par le FLN. On y apprend que, selon les services de renseignement de la République Fédérale d’Allemagne, la rupture du barrage de Malpasset à la hauteur de la localité de Fréjus (France) aurait été causée par le FLN. À ce sujet, les sites fdesouche et Le Monde se sont grandement étonnés de cette information et leurs analyses se sont concentrées sur ce seul fait.

Or, en ce qui me concerne, la fine pointe du documentaire présenté par Arte se situe dans la révélation que l’indépendance de l’Algérie et le développement du mouvement révolutionnaire du Front de Libération National semblent avoir été supervisés et appuyés par les services secrets ouest- et est-allemands. Et en raison de quel motif? Essentiellement afin de diminuer l’influence française en Afrique du Nord et sécuriser des sources de pétrole pour l’Allemagne, qui n’en possède pas sur son propre territoire, rappelons-le.

Aussi, souvenons-nous que les forces de l’Axe durant la Deuxième Guerre Mondiale, Allemagne, Italie et Japon, n’ont pas connu de révolutions populaires contrairement aux pays Alliés. Cette guerre mettait en scène en quelque sorte d’un côté des pays ayant connu des révolutions populaires (France, Grande-Bretagne, États-Unis et Russie) les ayant conduits vers la modernité, et de l’autre des pays où les lignées monarchiques et aristocratiques s’étaient à peu près maintenues en dépit des changements politiques. Peut-on penser que l’Allemagne se sente contrainte de prendre le parti de populations n’ayant pas connu de révolution de type française ou bolchévique afin de les préserver d’une trop grande « modernité »? En tout cas, l’indépendance de l’Algérie et la montée du FLN se révèlent une curieuse préfiguration du « Printemps arabe ». L’Iran a lui aussi connu son « printemps » en 1979. Mais quel printemps doit-on évoquer lorsque l’on entend parler de l’implication des services secrets allemands, de la participation de djihadistes payés par le Qatar et du support financier, politique et parfois militaire des États-Unis? Décidément, ce « printemps » n’a rien d’arabe.

Les militants communistes de Russie représentent toujours une force politique majeure

Cette entrevue de Paul Houde avec Normand Lester sur les ondes du 98,5 FM nous rappelle la fragilité extrême de ce que nous appelons la démocratie. Voilà exactement vingt ans, l’Union soviétique tombait et tous les espoirs étaient permis de voir naître en Russie une société libre. Or, cette démocratie se fait toujours attendre alors que le pays lutte pour ne pas sombrer dans l’anarchie. Le crime organisé est puissant et le gouvernement ressemble davantage à une dictature fasciste qu’à un gouvernement réellement libéral. Il faut bien avouer qu’il n’est pas si facile de mettre sur pied une démocratie. Des peuples qui ont vécu des siècles dans des régimes autoritaires ne peuvent pas du jour au lendemain assumer les responsabilités qui viennent avec les différentes libertés données par le style de vie occidental. On le voit au Maghreb présentement. Aussitôt que les populations ont obtenu la possibilité d’instaurer des régimes démocratiques, elles sont allées se réfugier dans les bras du système totalitaire de l’islam, sans doute parce que c’est plus simple comme cela. Auparavant, c’était le dictateur qui leur disait quoi faire et quoi penser, maintenant, ce sera l’imam.

La situation de la Russie est moins prononcée que celle du Maghreb mais il y a des ressemblances. C’est bien beau de mettre à la porte le communisme mais encore faut-il assumer la démocratie et ça, c’est une autre paire de manches. Le fait que les communistes en Russie soit la deuxième force politique du pays montre bien la difficulté à franchir cette étape dans le développement d’un peuple. Car, s’il est facile de sortir un peuple du totalitarisme, c’est autre chose de sortir le totalitarisme de ce même peuple. En passant, si vous voulez voir un documentaire sur le dernier jour de l’URSS, vous pouvez consulter cette article précédent.

Normand Lester sur la Russie

Entrevue de Marine Le Pen à BFMTV: Elle met K.O. Jean Leonetti

Cette entrevue de Marine Le Pen à BFMTV est absolument fabuleuse. Elle permet de mettre en lumière un état de fait qui s’avère de plus en plus indéniable: Il n’y a qu’elle dans la course à la Présidentielle. Les autres candidats ne sont que des fantoches, des petits fonctionnaires de l’Union Européenne protégeant leur carrière au lieu de défendre la France, et tout ça pour une « Europe » qui ne fonctionnera jamais selon les paramètres actuels. L’Union Européenne et sa monnaie unique, calquée sur la carte de la Grande Allemagne nazie et fonctionnant politiquement sous le mode de l’Union soviétique, est en train de faire mourir un à un tous les peuples européens, en brisant leur économie, leur culture, leur patrimoine, pour ne profiter qu’à un nombre très réduit de non-élus siégeant à Brussels et leurs alliés des « marchés financiers ». Le point fort de cette entrevue-émission s’est produit lors du débat avec Jean Leonetti, ministre chargé des affaires européennes. Ce monsieur supposément très bien élevé s’est comporté comme un véritable rustre en état impoli, désagréable et de mauvaise foi. Il n’a pas cessé d’interrompre Marine Le Pen pour ne dire au fond que des âneries bien souvent ou des phrases vides ou hargneuses. Combien y a-t-il de petits fonctionnaires de ce genre dans l’appareil étatique de l’Union Européenne et dans chacun de ses états membres, je ne sais trop. Mais avec une pareille performance, ce n’est pas étonnant que l’Europe s’en aille chez le diable… En fin de compte, il est évident que la gauche française n’est plus dans le coup en ce qui concerne la défense des citoyens et de leurs intérêts, elle qui se vautre dans une logique de collaboration. À ce sujet, vous pouvez voir cette entrevue avec Éric Zemmour sur la collaboration des réseaux gauchistes en France dans les années qui ont précédé la Deuxième Guerre Mondiale. Décidément, et la France et l’Europe sont au bord du gouffre. Ceux qui ont encore le coeur de défendre leur patrie et ce merveilleux continent qu’est l’Europe doivent se lever et combattre courageusement ces totalitaires collabos qui l’ont transformée en numéro de cirque.


BFMTV 2012 : Marine Le Pen, le reportage par BFMTV

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