Cet excellent article de l’UPR datant de 2014 met en lumière les raisons pour lesquelles Charles de Gaulle refusait de commémorer le débarquement allié du 6 juin 1944. Selon de Gaulle, les Américains ont tout simplement profité de l’occupation nazie de la France pour tenter de mettre la main sur le pays, de le vassaliser. Différentes manœuvres ont été utilisées pour écarter Charles de Gaulle du pouvoir car il était le seul homme réellement assez fort pour garantir l’indépendance de la France. Pour ma part, je dirais que Roosevelt, qui se sentait peut-être attiré par le communisme, avait adopté des positions politiques et économiques plus à gauche qui l’ont améné à présenter le fameux New Deal, à reconnaître officiellement l’Union Soviétique, ainsi qu’à conclure une alliance militaire avec celle-ci pour faire la guerre au régime nazi. Sur le plan économique, beaucoup d’entreprises américaines continuaient de faire affaire ou soutenaient le régime nazi, donnant donc l’impression que l’Administration américaine de l’époque jouait sur les deux tableaux à la fois mais toujours au détriment de la France. Quelques années après que la guerre soit terminée, les européens se sont retrouvés devant la situation suivante: L’Union Soviétique avait envahi l’Europe de l’Est, et l’Europe de l’Ouest, bien qu’en principe «libérée» de l’occupant nazi, était désormais sous l’emprise des États-Unis. La France a tout simplement changé de maître, elle est toujours sous occupation depuis mais le temps est venu pour la France d’y mettre un terme. Et cela passe par la sortie de la France de l’Union Européenne, de l’Euro et de l’OTAN.
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Documentaire sur le voyage de parlementaires français en Crimée (mars 2019)
TV Libertés a réalisé ce documentaire sur le récent voyage en Crimée de parlementaires français, qui permettra j’espère de réaffirmer et de raffermir les relations entre la Russie et la France.
Quelques réflexions sur la victoire de Donald Trump
L’élection de Donald Trump à la Présidence américaine constitue un véritable miracle. Bien peu auraient pu prévoir ce scénario, incluant ses propres partisans. Quelques réflexions s’imposent sur ce résultat et ses conséquences. D’abord, il apparaît évident que la victoire d’un candidat populiste à la Présidence américaine pourrait signifier la fin du socialisme, celui que l’on a connu depuis 1945 jusqu’à aujourd’hui. En effet, depuis 1945, les peuples occidentaux ont été littéralement noyés sous une pluie de propagande gauchiste, marxiste et socialiste qui a changé en profondeur les sociétés occidentales, détruisant le socle conservateur et de droite sur lequel elles étaient fondées, et où la famille et l’agriculture jouaient un rôle premier. Car, il faut bien se l’avouer, le véritable perdant de la Deuxième Guerre Mondiale n’a pas été ni l’Allemagne ni l’Italie ni le Japon mais bel et bien plutôt la droite politique. Depuis 1945, la droite n’a plus eu le droit de parole, d’association ou d’expression et les institutions des sociétés occidentales ont été tour à tour soit abolies soit transformées, défigurées en pantins gauchistes faisant l’éloge de la pensée progressiste. Dans cette atmosphère de destruction et de désintégration, même l’Église Catholique n’a pas échappé à la subversion.
La victoire de Donald Trump donne donc de l’espoir au moment précis où tout apparaissait perdu. In extremis, nous avons évité la désintégration totale de la société occidentale par un cheveux. Bien sûr, nous ne savons pas encore de quoi l’Administration Trump aura l’air. Nous ne savons pas non plus s’il sera capable ou désireux de livrer la marchandise quant aux promesses qu’il a faites durant la campagne. En tous cas, j’espère qu’il le fera. Néanmoins, le résultat électoral qui l’a porté au pouvoir, suite à celui du Brexit, envoie un signal clair que les peuples en ont marre des politiques qui ont été mises en place depuis 1945. Si celles-ci ont réussi à créer un monde de paix et de prospérité pour quelques décennies, clairement, aujourd’hui, elles ne fonctionnent plus. Un monde nouveau demande à voir le jour et à être entendu et j’ai l’impression que peu importe ce que l’oligarchie euro-atlantiste puisse faire, celui fera sa place.
Cette victoire fut un travail d’équipe. Je ne crois pas que personne en particulier puisse en prendre crédit (à part Donald Trump lui-même, bien sûr.) Nous devons mentionner, parmi tous ceux qui ont participé à cette victoire historique, l’équipe de campagne, la famille de Donald Trump, les millions de supporteurs et d’électeurs qui ont voté pour lui, ainsi qu’une myriade de supporteurs via internet qui ont fait entendre leur voix, parmi lesquels ont retrouve des nationalistes, des membres du mouvement Alt-Right, des militants d’extrême-droite, de militants anti-mondialisation, des opposants aux traités de libre-échange, des opposants à l’immigration, etc. Chacun a mis l’épaule à la roue à sa façon. À cet effet, il remarquable que ce que j’appelle les forces de la liberté aient pu coller deux victoires en ligne, le Brexit et l’élection de Donald Trump. Comme retournement de situation, c’est assez spectaculaire.
Aussi, je crois que nous devons prendre cette victoire avec prudence et modestie. Si l’élection présidentielle américaine était une bataille importante que nous devions gagner, la guerre est loin d’être finie. Les forces de la tyrannie possèdent des moyens considérables, sont capables de mobiliser des masses importantes de personnes rapidement et elles n’hésitent pas à utiliser la violence ou l’intimidation si les choses ne vont pas dans leur sens. C’est pourquoi il est important de rappeler que la période de temps qui s’étendra jusqu’au 20 janvier prochain, date de l’entrée en fonction du Président Trump, est absolument cruciale. Un soin méticuleux doit être apporté à la transition des pouvoirs à la Maison Blanche. Monsieur Trump doit s’assurer qu’il a toutes les bonnes personnes aux bons postes stratégiques et que ce sont des gens en qui il peut faire confiance.
Par ailleurs, nous ne devons pas oublier non plus que l’on ne renverse pas 70 ans de propagande et de subversion gauchistes en un claquement de doigt. Ce sera un long combat, très dur, qui mobilisera toutes nos énergies. La victoire de Donald Trump marque non pas la fin du combat mais bien plutôt le début. Les forces de la tyrannie, communistes, socialistes, marxistes, islamistes, etc, pensaient pouvoir terminer la subversion de l’Occident pour le centième anniversaire de la révolution bolchévique de 1917. Malheureusement pour eux, heureusement pour nous, la victoire de Donald Trump tombe comme une brique et en laisse plusieurs pantois. Pour le moment, savourons cette grande victoire mais n’oublions jamais une chose. Dans l’histoire, seuls les hommes qui se tiennent debout survivent et triomphent. Ceux qui s’écrasent ou font exercice de génuflexion finissent tous par périr et disparaître. Alors, relevons la tête et défendons nos pays. Après tout, nous avons maintenant un allié de taille à la Maison Blanche. Profitons-en!
Entrevue #1 et #2 avec Peter Levenda sur l’héritage hitlérien et le djihad mondial
Cette série d’entrevues avec Peter Levenda réalisée par Dave Emory est l’occasion pour lui de présenter son dernier livre, The Hitler Legacy. Cet ouvrage de recherche présente un monde complexe, dont l’histoire ne se résume pas aux versions simplistes que l’on nous présente souvent. Pour l’auteur, les problèmes que nous rencontrons aujourd’hui ne sont que la continuité de ceux qui se posaient durant et après la Première Guerre Mondiale. À l’époque, les pouvoirs coloniaux qu’étaient la Grande Bretagne et la France, ainsi que la Russie, étaient en conflit avec l’Allemagne pour le contrôle du monde. L’Allemagne a rapidement compris qu’elle pouvait utiliser les frustrations et revendications des populations ayant vécu la colonisation, et en particulier les populations arabo-musulmanes, afin de les fanatiser contre la Grande-Bretagne, la France, la Russie, ainsi que contre les États-Unis et les sionistes, partisans de la création de l’état d’Israël. Des personnages importants de la finance et de l’industrie américaine et allemande, tels Henry Ford, la famille Thyssen et plusieurs autres, conservateurs et anti-communistes, ont prêté main-forte à l’Allemagne dans un effort justement pour freiner l’essor du communisme dans le monde. L’archéologue Max von Oppenheim (probablement du renseignement allemand) aurait joué un rôle important à cet égard en convaincant le Sultan Mehmet V de l’Empire Ottoman, allié de l’Allemagne, de déclarer un djihad mondial contre ces pays, dont nous vivons toute l’ampleur aujourd’hui. T.E. Lawrence (probablement du renseignement britannique) aurait essayé d’utiliser les populations arabo-musulmanes de façon à contrer les efforts de Oppenheim et du Sultan. À la fin de la guerre, Français et Anglais se sont divisés le Moyen-Orient en fonction de leurs intérêts lors du Traité Sykes-Picot, violant ainsi les promesses faites aux populations arabo-musulmanes et juives aussi. La Deuxième Guerre Mondiale n’a rien réglé de façon concrète. Plusieurs criminels de guerre nazis se sont vus offrir l’occasion de s’enfuir en sûreté à l’étranger, par le biais de ce qu’on appelle communément les « ratlines ». Certains se sont convertis à l’islam. Beaucoup ont trouvé de nouveaux emplois dans des gouvernements ou des agences de renseignement de par le monde. Ainsi, la nébuleuse fasciste et/ou nazie a pu continuer d’exister, dans l’underground jusqu’à tout récemment, et c’est cette nébuleuse que l’on voit refaire surface aujourd’hui sous la forme des islamistes/djihadistes. Beaucoup d’éléments sont apportés durant ces entrevues de haute qualité qu’il serait trop long d’énumérer. Il est indéniable que le livre de Peter Levenda est de fort calibre. Dave Emory lui attribue la note de cinq étoiles, ce qui est sûrement pleinement mérité. En compagnie du merveilleux livre de John Loftus The Secret War Against the Jews, ces deux ouvrages de recherche constituent sans doute les sources de renseignement les plus fiables, véridiques et pertinents pour comprendre l’histoire du vingtième siècle et notre situation actuelle. Le silence médiatique entourant ces deux livres, j’imagine, en est la preuve irréfutable. Je vous invite donc à prendre le temps d’écouter les entrevues et de lire les textes associés. Beaucoup d’éléments doivent être compris à la fois. Deux autres entrevues sont planifiées pour bientôt avec l’auteur, qu’il me fera plaisir de vous proposer quand elles seront disponibles. Bonne écoute.
FTR #838 Interview (#1) with Peter Levenda about “The Hitler Legacy”
FTR #839 Interview (#2) with Peter Levenda about “The Hitler Legacy”
Ezra Levant: Les frères Rockefeller, le Club Sierra et les Mohawks…
Levant est tout à fait dans le sujet dans ce commentaire sur les émeutes reliées au gaz de schiste au Nouveau-Brunswick. Il porte à notre attention, de façon explicite dans l’article que vous retrouverez plus bas, le fait que le Fonds des Frères Rockefeller supporte financièrement des organisations écologiques, comme la Fondation du Club Sierra par exemple, qui semblent avoir des liens avec l’activisme politique des Mohawks. La famille Rockefeller a fait fortune en raison de ses investissements dans l’industrie pétrolière d’Arabie Saoudite, ce pays étant à toute fin pratique une création des États-Unis pour soutirer l’activité pétrolière du Moyen-Orient à l’Empire britannique. Des intérêts privés comme ceux des Rockefeller, et ceux de l’OPEP de façon plus générale, peuvent certainement être tentés de radicaliser certains groupes autochtones, écologiques et d’extrême-gauche afin de protéger leurs intérêts financiers. L’OPEP voit d’un très mauvais œil le développement de l’industrie pétrolière domestique, qu’elle soit canadienne, américaine ou autre, et n’entend pas perdre son marché d’exportation sans livrer bataille. Ces « protestations » de Mohawks en sont probablement une belle illustration. Pour en connaître davantage sur les transformations de l’industrie pétrolière dans les années précédant la Deuxième Guerre Mondiale, je vous suggère l’ouvrage de John Loftus, The Secret War Against the Jews. Voici également l’article de SunNews dont je parlais plus haut.
L’article de SunNews sur les émeutes du gas de schiste
La Deuxième Guerre Mondiale en images et en couleurs
Once Upon a Secret de Mimi Alford: Ramdom House se paie un Démocrate?
La maison d’édition américaine Random House vient de publier le livre de Mimi Alford Once Upon a Secret couvrant la relation amoureuse qu’elle aurait entretenue avec John F. Kennedy. Bien qu’il soit intéressant et toujours utile d’en savoir davantage sur les personnalités publiques et leurs actions, je dois vous avouer mon scepticisme dans ce dossier, surtout depuis que je me suis aperçu que le livre a été publié par la maison d’édition Random House. Random House, qui est la plus importante maison d’édition en langue anglaise, est la propriété de Bertelsmann, une maison d’édition allemande. Or, Bertelsmann était la firme qui publait la littérature nazie durant la guerre. Cela n’implique pas nécessairement que les dirigeants de cette maison d’édition soient des nazis mais la question de l’héritage est importante dans une maison d’édition car elle teinte forcément les orientations et décisions éditoriales qui sont prises.
Donc, je pose la question: Bertelsmann, par l’entremise de sa filiale Random House, en profite-t-elle avec ce livre pour se payer un Démocrate? En d’autres termes, en profite-t-elle pour essayer de salir la mémoire des Américains au sujet d’un Président qui fut, somme toute, un libéral, quelqu’un qui croyait à la démocratie, qui respectait le peuple, la Constitution et la Charte des Droits et Libertés? La question se pose tout à fait, surtout si l’on considère que Dirk Bavendamm, l’historien officiel de Bertelsmann, s’est lancé depuis quelques décennies déjà dans un exercice de réécriture de l’histoire, surtout celle de la Deuxième Guerre Mondiale. Par exemple en 1983, il a publié le livre Roosevelts Weg Zum Krieg dans lequel il prétend que c’est en fait Roosevelt qui a commencé la Deuxième Guerre Mondiale, que ce sont les Juifs américains qui contrôlent les médias et autres mensonges révisionnistes. Bertelsmann, sous la conduite de Dirk Bavendamm, a publié plusieurs autres ouvrages allant dans le même sens. Donc, dans la mesure où ceux qui ont intérêt à ce que la mémoire de Kennedy soit entachée dans l’esprit du peuple américain sont probablement les mêmes qui l’ont fait assassiner, on peut se poser des questions sur les motifs réels de Random House/Bertelsmann de publier ce livre. Ce qui n’enlève rien, soit dit en passant, à la véracité des propos que Mimi Alford y raconte. La prudence est de mise ici. En plus de la chronique de Normand Lester qui traite de ce sujet, je vous propose deux émissions du chercheur antifasciste et animateur de radio Dave Emory sur le contrôle qu’effectuent des firmes allemandes sur les médias américains et sur le processus de réécriture de l’histoire qui s’ensuit.
Normand Lester sur le livre de Mimi Alford sur la vie de JF Kennedy
Michael Sabia mange à la table des Desmarais: Bienvenue au Royaume de Sagard…
Le Canada et le Québec sont-ils des démocraties ou des régimes monarchiques? On aurait tendance à croire en la deuxième hypothèse, si l’on se fie aux rapports incestueux qu’entretiennent les acteurs politiques et économiques canadiens et québécois avec la famille Desmarais. Si quelqu’un entrevoit de faire une carrière politique dans ce pays, c’est à se demander s’il n’est pas obligé d’emblée de faire génuflexion et de prêter obédience auprès de cette famille et de son patriarche sinon, il risque de ne pas aller bien loin. Le domaine de Sagard, propriété de la famille Desmarais, donne l’impression d’un régime autarcique, féodal, monarchique, tels qu’on les voyait au Moyen-Âge. Normand Lester donne l’exemple dans l’entrevue qui suit d’une quinzaine d’entités politiques à travers le monde possédant un territoire plus petit que la propriété de Sagard. À Sagard, on y pratique la chasse au faisan, la chasse à courre, et toutes sortes d’autres choses sûrement bien agréables, tout cela agrémenté par un régiment de domestiques.
Il y a certaines choses qui me font tiquer avec la famille Desmarais et cette dernière controverse autour de Michael Sabia ne fait que s’ajouter à une longue liste. Tout d’abord, et sur une note plus humoristique, le nom du village, Sagard, ressemble à la contraction de deux noms d’origine nordique: l’islandais saga, qu’on peut traduire par récit, et le norse Midgard, qui signifie « enceinte du milieu ». Le domaine de Sagard serait-il un lieu où l’on voudrait réécrire l’histoire tout en y trouvant refuge à la fois? Deuxièmement, on se demande comment cette famille a pu devenir aussi riche. Les Desmarais ont commencé leurs activités dans le secteur des pâtes et papiers et y ont fait de l’argent, mais les pâtes et papiers, ce n’est quand même pas le pétrole ni l’armement. Normand Lester nous apprend ici que le domaine de Sagard, qui avait été construit à l’origine pour servir de centre touristique, a changé de mains à quelques reprises pour aboutir dans celles de la famille Desmarais…pour la modique somme de $1, alors qu’il est évalué à une somme se situant entre 50 et 70 millions de dollars. Power Corporation, propriété de la famille, s’est cédé le domaine à elle-même. Continuer la lecture
Entrevue de Marine Le Pen à BFMTV: Elle met K.O. Jean Leonetti
Cette entrevue de Marine Le Pen à BFMTV est absolument fabuleuse. Elle permet de mettre en lumière un état de fait qui s’avère de plus en plus indéniable: Il n’y a qu’elle dans la course à la Présidentielle. Les autres candidats ne sont que des fantoches, des petits fonctionnaires de l’Union Européenne protégeant leur carrière au lieu de défendre la France, et tout ça pour une « Europe » qui ne fonctionnera jamais selon les paramètres actuels. L’Union Européenne et sa monnaie unique, calquée sur la carte de la Grande Allemagne nazie et fonctionnant politiquement sous le mode de l’Union soviétique, est en train de faire mourir un à un tous les peuples européens, en brisant leur économie, leur culture, leur patrimoine, pour ne profiter qu’à un nombre très réduit de non-élus siégeant à Brussels et leurs alliés des « marchés financiers ». Le point fort de cette entrevue-émission s’est produit lors du débat avec Jean Leonetti, ministre chargé des affaires européennes. Ce monsieur supposément très bien élevé s’est comporté comme un véritable rustre en état impoli, désagréable et de mauvaise foi. Il n’a pas cessé d’interrompre Marine Le Pen pour ne dire au fond que des âneries bien souvent ou des phrases vides ou hargneuses. Combien y a-t-il de petits fonctionnaires de ce genre dans l’appareil étatique de l’Union Européenne et dans chacun de ses états membres, je ne sais trop. Mais avec une pareille performance, ce n’est pas étonnant que l’Europe s’en aille chez le diable… En fin de compte, il est évident que la gauche française n’est plus dans le coup en ce qui concerne la défense des citoyens et de leurs intérêts, elle qui se vautre dans une logique de collaboration. À ce sujet, vous pouvez voir cette entrevue avec Éric Zemmour sur la collaboration des réseaux gauchistes en France dans les années qui ont précédé la Deuxième Guerre Mondiale. Décidément, et la France et l’Europe sont au bord du gouffre. Ceux qui ont encore le coeur de défendre leur patrie et ce merveilleux continent qu’est l’Europe doivent se lever et combattre courageusement ces totalitaires collabos qui l’ont transformée en numéro de cirque.
Éric Zemmour sur la collaboration des gauchistes en France et la LICRA
Cet billet fait suite à un article précédent sur les liens existants entre la gauche et la collaboration dans la France du général Pétain. Lors de la Deuxième Guerre Mondiale, la France a cédé. Elle a abandonné son rêve d’être la nouvelle Rome. C’est plutôt le projet anglo-saxon, incarné par ce que nous appelons la mondialisation, qui a triomphé. Pétain généralement est loué pour ce qu’il a fait en 1917 et vilipendé pour ce qu’il a fait en 1940. Éric Zemmour prétend qu’il faudrait plutôt faire l’inverse. Pour lui, le fait d’arrêter l’offensive sur le Allemands en 1917 a été une grave erreur puisque cela leur a permis de se regrouper et de reconstruire leurs forces, ce qui a mené à leur ascension future. Et en 1940, Pétain a signé l’Armistice puisqu’il savait que la France était à genoux et qu’il ne servait à rien de sacrifier le peuple entier dans une cause perdue. Voilà en substance le propos de cette excellente entrevue.