Retrouvez l’entrevue au segment #2.
Archives par mot-clé : États-Unis
Entrevue avec Douglas Murray sur le dossier des migrants
Conférence de Vincent Brousseau: L’Euro, avant, pendant et après…
L’ancien économiste de la Banque Centrale Européenne, qui a joint les rangs de l’Union Populaire Républicaine, récidive avec une autre excellente conférence. La situation actuelle de la Grèce, qui vient tout juste de rater ses obligations financières en date d’aujourd’hui, rend cette conférence tout à fait à propos. L’éventualité qu’elle sorte de la zone euro est de plus en plus probable, puisqu’il ne semble pas y avoir d’autres solutions. Entre autres points très pertinents abordés par l’économiste, on retrouve les observations suivantes. Tout d’abord la liste des grandes puissances n’a pas beaucoup évoluée depuis les dernières décennies, puisqu’il est difficile d’accéder à ce club sélect pour diverses raisons. Les États-Unis ont réussi à se hisser à ce niveau de façon très rapide, ce qui a donné aux Américains un avantage sur leurs rivaux. Il rappelle que le budget militaire américain est supérieur à ceux des toutes les autres grandes puissances combinés. Les États-Unis ont eu donc tendance à construire des bases militaires dans les pays qu’ils ont conquis ou vassalisés. Lors de la construction de l’Union Européenne, un grand transfert de souveraineté s’est effectué des états-nations d’alors vers des structures supranationales que sont l’OTAN, l’UE et l’Euro. Ce transfert de souveraineté a laissé les pays membres de cette construction supranationale sans défense face à diverses manœuvres pour affaiblir leur spécificité nationale, telles les privatisations, les partenariats économiques avec perte de contrôle majoritaire, la perte de standards locaux exprimant la culture locale, etc.
Aussi, Brousseau attire notre attention sur le fait que l’Euro n’est ni une monnaie unique ni une monnaie commune. En fait, il s’agit d’une série de monnaies nationales unies avec un taux de change de 1 pour 1. Les dépôts des citoyens et corporations situés dans un pays créent des créances sur la Banque Centrale de ce pays. Si la zone euro explose, ce qui risque d’arriver bientôt, chaque pays retrouvera sa monnaie nationale, et les dettes, dépôts et actifs présents dans les banques locales seront libellés dans chaque monnaie nationale respective, sans dépréciation par rapport à l’Euro, puisque la zone euro garantit un taux de change 1 pour 1. Néanmoins, cet avantage sera néfaste pour les pays plus riches comme l’Allemagne. En effet, beaucoup d’épargnants et d’investisseurs de pays en difficulté, craignant un effondrement de l’Euro, ont transféré leurs avoirs dans des banques allemandes. Comme les dépôts créent des créances sur la Banque Centrale locale, dans ce cas-ci la Bundesbank, si l’Euro s’effondre, leurs dépôts seront automatiquement convertis en Deutsch Mark, ce qui pour certains, fera certainement la différence entre la faillite et la prospérité. Vincent Brousseau fait remarquer durant sa présentation que beaucoup sont inquiets de ce phénomène à la BCE et à la Bundesbank. Brousseau parle même de « créances toxiques », puisqu’il s’agit là d’un poids financier énorme. L’économiste signale aussi certains événements survenus dans le monde de l’économie qui ont pu amener la zone euro dans cette situation, comme par exemple la fin du marché monétaire interbancaire en 2008, la faillite de Lehman Brothers, etc.
Je m’en voudrais de vous laisser aller sans signaler deux moments suaves de cette conférence. Tout d’abord, vers 40:00 minutes, Brousseau cite une lettre de 1943 de Jean Monnet à Harry Hopkins, conseiller politique du Président Roosevelt. En substance, Monnet dit à Hopkins que le Général de Gaulle est un ennemi du peuple français et de la construction européenne, qu’on ne peut pas s’entendre avec lui et qu’il doit être détruit. Rien de moins. Or, fait extrêmement intéressant, l’écrivaine Diana West a identifié Harry Hopkins, dans son merveilleux livre American Betrayal, comme ayant été un agent de l’Union Soviétique…Brousseau suggère que Monnet était en fait lui-même un employé de Hopkins. Beaucoup d’analystes politiques ont remarqué les similitudes entre l’Union Soviétique et l’Union Européenne et ce genre de connivences politiques montre bien le jeu d’influence qui a pu avoir lieu alors que le projet de la construction européenne prenait forme. Autre élément intéressant, tout de suite après, vers 42:30 minutes, le conférencier attire notre attention sur une réunion tenue le 11 juin 1965, lors de laquelle Robert Marjolin suggère au Département d’État américain une union monétaire entre les pays européens, ce qui est une autre preuve que l’intégration monétaire de l’Europe était dans les cartons depuis longtemps et manifestait une volonté politique et idéologique. Robert Marjolin était-il lui aussi sous influence de l’Union Soviétique? Bonne question. Brousseau parle de la « Méthode Monnet » pour imposer aux peuples européens des structures qui les réduisent de plus en plus en esclavage. Cette méthode consiste à présenter que le point A rend obligatoire le point B. Par exemple, on entend souvent les partisans de l’Euro nous dire que pour que l’Euro fonctionne, il faut l’union budgétaire. Or, ces mêmes partisans avaient dit que pour que l’union politique fonctionne, il fallait l’union monétaire, et ainsi de suite.
Cette conférence est à voir absolument. Pour revenir au sujet de la Grèce, ce seront les Grecs qui vont décider de leur avenir. Mais une chose est sûre. Une sortie concertée de la zone euro serait préférable à son éclatement soudain. Il est plus facile de contrôler les conséquences d’une action lorsqu’on l’initie que lorsqu’on la subit. Que la zone euro soit abolie ne serait pas un échec mais plutôt un signe de sagesse élémentaire. Malheureusement, je crains que la caste politique au pouvoir à Bruxelles ne partage pas mon avis. La fin de la zone euro serait sans doute ce qui pourrait arriver de mieux à l’Europe dans les circonstances.
Hervé Juvin présente son livre « Le Mur de l’Ouest n’est pas tombé »
Le dernier ouvrage d’Hervé Juvin présente la thèse à l’effet que le Mur de Berlin n’est pas vraiment tombé. Je suis tout à fait d’accord avec l’analyse géopolitique faite ici, puisque je l’ai moi-même proposée lors d’un texte précédent. Le Mur est devenu mental, nous l’avons intégré dans notre façon de penser. Pour Juvin, le but des Américains est de couper l’Eurasie en deux, pour empêcher la constitution d’une Europe continentale qui s’étendrait de l’Espagne à la Sibérie. Deux visions géopolitiques s’affrontent ici, celle des Américains qui veulent à tout prix empêcher le rapprochement entre l’Europe de l’Ouest et la Russie, et celle des Chinois et des Russes qui cherchent à garder ou à créer leur propre sphère d’influence. Celui qui contrôle l’Eurasie contrôle la Terre, comme dit l’adage. Pour Juvin, les Occidentaux modernes ont construit des sociétés basées sur les droits individuels mais en négligeant les droits collectifs. Ces droits collectifs sont aujourd’hui bafoués notamment en Europe et partout dans le monde, alors que les peuples ont de la difficulté à faire respecter leur souveraineté, leur identité et à assurer leur survie. Selon lui, l’obsession des droits individuels même directement à l’esclavage et à la colonisation. Il faut réaliser que « l’économie ne répondra jamais totalement aux questions fondamentales ». Les Américains sont aux prises avec une vision manichéenne du monde dans laquelle ils incarnent les forces du Bien et que tous les autres avec lesquels ils ont des conflits divers appartiennent aux forces du Mal. Pour finir, Juvin attire notre attention sur le développement du trafic d’êtres humains. Ce trafic est en voie de devenir la première activité criminelle au monde, encore plus profitable que celle du trafic de drogues. À voir.
https://youtu.be/uq6ayRA6e9E
Sean McGurk et Gordon Chang sur les attaques informatiques de la Chine communiste
Retrouvez l’analyse de ces deux intervenants dans les segments 1 & 2.
Les différences entre le sunnisme et le chiisme et le plan Kalergi
Ces deux excellentes vidéos d’Aldo Sterone tentent de présenter les raisons historiques expliquant la persistance des structures autoritaires de pouvoir dans le monde arabo-musulman, spécialement dans le monde sunnite. En étudiant certains textes, dont ceux des rédacteurs de hadiths Sahih Muslim et Boukhari, Sterone en vient à la conclusion que le sunnisme a été créé de façon à servir de glorification aux califes. Il cite Sahih Muslim: « Si votre dirigeant est Satan dans le cadavre d’un homme. S’il brise ton dos. S’il prend ton argent… Écoute-le et Obéis-lui ! Il cite Boukari: « Obéis à ton dirigeant même si c’est un éthiopien à la tête de raisin ». La deuxième vidéo est consacrée plus spécifiquement à la « catastrophe du jeudi » telle que racontée par la tradition musulmane, où un Mahomet sur son lit de mort aurait été empêché d’écrire ses dernières volontés ou pensées. En effet, certains clans étaient réfractaires dû à l’état mental précaire du prophète. Sterone mentionne également le rôle joué par le deuxième calife de l’histoire, Umar Ibn Al-Khattab, dans le développement de la pensée radicale islamiste. Dans la troisième vidéo que je joins aussi, Sterone affirme même que Umar Ibn Al-Khattab serait considéré par certains comme le prophète véritable, bien supérieur à Mahomet. Sterone cite d’autres théologiens musulmans comme Ibn Taymiyya. Selon Sterone, les chiites de leur côté ont eu tendance à s’opposer aux malversations des califes, ce qui leur a valu de nombreuses persécutions.
De façon générale, les perspectives présentées par Sterone ici m’amènent à rappeller l’affreux cauchemar envisagé par le visionnaire politique Richard Coudenhove-Kalergi. Kalergi était un pan-européiste supranationaliste. En gros, il voyait dans l’Europe la plus grande menace à la domination des États-Unis. Dans sa vision, il fallait donc faire disparaître sa population, blanche, chrétienne, éduquée et cultivée en la remplaçant par une autre moins évoluée et donc plus facile à manipuler et à dominer. Le déversement incontrôlé de nouvelles populations force le métissage et brise les valeurs et les identités locales. Le plan Kalergi est un plan génocidaire, se produisant de façon graduelle, sur plusieurs décennies ou siècles, sans que la nationaux s’en rendent compte. C’est un plan de conquête de l’Europe, qui utilise l’immigration comme arme. Les immigrants arabo-musulmans d’obédience sunnite sont donc une population de choix pour opérer cette transformation forcée. Comme ils ont été formatés pour toujours obéir, même aux dictateurs les plus sanguinaires et les plus injustes, ils permettent de réaliser parfaitement le rêve de Kalergi pour les pays européens et pour les pays occidentaux en général. Nos dirigeants politiques en sont probablement venus à la conclusion que comme nous étions instruits, cultivés, éduqués, que nous avions le sens critique, que nous n’acceptions pas tout ce qui nous était imposé nécessairement, que nous nous rebellions parfois, il valait mieux alors nous remplacer. Nous remplacer par des gens éternellement soumis et qui détestent les populations des pays dans lesquels ils s’installent. Comme « islam » veut dire soumission, alors les musulmans ont été choisis pour accomplir cette tâche. Voilà pour moi la véritable nature de l’immigration musulmane que nous subissons…
Compte rendu de Marine Le Pen sur son voyage en Egypte
En plus de présenter un bilan de son dernier voyage en Égypte, la présidente du Front National élabore certains éléments de ce à quoi pourrait ressembler la politique arabe d’une France souveraine. Je joins également quelques autres documents d’intérêts. Premièrement, une entrevue avec le président de l’UPR, François Asselineau, présentant aussi certains éléments d’une politique arabe de la France. Ensuite, une entrevue avec Florian Philippot concernant une poursuite judiciaire en diffamation dont il fait l’objet de la part du Qatar (pour avoir fait le lien entre ce pays et le terrorisme islamiste). Ceci est un exemple flagrant de ce que l’on pourrait appeler le « djihad par les tribunaux ». Un de bons sites web américains, que je vous invite à consulter, qui se consacrent à ce genre de cas où les tribunaux sont utilisés pour faire avancer la cause de l’islamisme est American Freedom Law Center. Finalement, je joins aussi une proposition de résolution déposée au Parlement Européen par le Front National demandant la dissolution de l’Union Européenne(!) On dirait qu’une certaine convergence commence à s’établir entre le Front National et l’Union Populaire Républicaine. La meilleure chose qui pourrait à la France serait sans doute de voir ces deux partis former un gouvernement d’union nationale ou de coalition en 2016, puisque ce sont les deux seules formations politiques à avoir un discours approprié et une approche cohérente des problèmes et des solutions pour redresser la France.
F: Asselineau: "On vote pour des marionettes" par esprit-actu
Xavier Moreau commente le dossier ukrainien
https://youtu.be/gv4TNbl92S0
Conférence de presse de lancement de la campagne NON au TAFTA
Marine Le Pen, Philippe Murer, Eric Richermoz et Gaëtan Dussausaye, du Front National et du Collectif Nouvelle Écologie, joignent leurs voix pour dénoncer le traité de libre-échange transatlantique (en anglais TAFTA) en cours de négociation entre l’Union Européenne et les États-Unis. Ce traité de libre-échange, comme tous les autres avant lui, viendra mettre en péril la souveraineté des états signataires de façon importante, tout en prétendant créer une zone de croissance économique phénoménale avec des emplois en abondance. Un traité similaire est en négociation en Asie, le TPP (Trans-Pacific Partnership). Ceux vivant en Amérique du Nord ont l’expérience de ce genre de traité. Nous avons assisté à la signature du traité de libre-échange Canada-États-Unis dans les années 1980, puis ensuite à l’entrée du Mexique dans l’entente, sous le nom de l’ALENA quelques années plus tard. À chaque fois, on nous sert le même discours. « Ce traité va nous amener des emplois, de la croissance, etc, etc ». Si quelques emplois ont pu être créés effectivement, le citoyen moyen d’Amérique du Nord a surtout été témoin de la fuite des capitaux et des usines vers les marchés dits « émergents », de la Chine, de l’Inde, du Bangladesh, etc. Ainsi, les ententes de type « libre-échange » apparaissent souvent comme des manœuvres par lesquelles on échange des emplois en les exportant à l’étranger pour récupérer des chômeurs de l’étranger par le biais de l’immigration, que l’on fera vivre ici avec le salaire de ceux qui ont encore un emploi. Dans d’autres cas, les emplois créés ici dans nos pays par le libre-échange se voient offerts à des travailleurs étrangers en priorité, ce qui est encore plus choquant et contredit les promesses de ceux qui nous avaient vendu ces ententes. Voilà la réalité concrète du « libre-échange ».
C’est pourquoi je ne suis pas très chaud à l’idée que le TAFTA soit imposé aux Européens. Je me dis que c’est encore un autre traité qui viendra amoindrir la possibilité pour les Européens de protéger leurs emplois et de faire leurs propres choix en matière de santé, d’alimentation, de pratique sanitaires, etc. Les intervenants prenant la parole autour de Marine Le Pen affirment ici leurs inquiétudes, notamment dans les domaines de l’agriculture, du lait, de l’exploitation des gaz de schiste, de l’usage de produits chimiques comme le bisphénol A, etc. Selon les termes de l’entente, les conflits commerciaux qui vont éclater seront soumis à des tribunaux d’arbitrage, privés, donc constitués de gens qui ne répondent à personnes sauf à leurs bailleurs de fonds. Marine Le Pen craint la chypriotisation de l’Europe et de la France si cette entente devait être signée.
De façon plus générale, je crois que l’on peut dire que nous ne sommes plus en démocratie. Nos leaders politiques négocient des contrats commerciaux souvent en secret, loin des regards indiscrets des médias, des citoyens et des électeurs. Un des panélistes fait remarquer que ceux ayant la possibilité de regarder les documents de négociation du TAFTA n’étaient pas autorisés à prendre de notes ni de photos. Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. Des exemples célèbres viennent en tête pour décrire ce genre de comportement. L’exemple le plus flagrant demeure la rencontre secrète entre plusieurs grands magnats de l’industrie, de la finance et des banques américaines (représentant en fait plusieurs grandes familles américaines) sur l’Île de Jekyll dans les jours suivant le 22 novembre 1910, afin de jeter les bases de ce qui allait devenir le Réserve Fédérale américaine, une banque privée. Comme on le sait, c’est cette banque qui contrôle la monnaie aux États-Unis, c’est elle qui imprime la devise. Normalement, ce rôle devrait revenir à la banque d’état de ce pays et non pas à une institution privée contrôlée par les gens les plus riches du pays. La création de la banque a été officialisée le 23 décembre 1913 par une loi du Congrès américain. La loi fut facile à passer puisque beaucoup de représentants avaient déjà quitté pour le congé des fêtes de Noël. Dans le même ordre d’idées, on se souviendra que la privatisation de la banque d’état française s’est faite le 3 janvier 1973. On peut penser que tous les députés n’étaient pas nécessairement présents à l’Assemblée Nationale au lendemain de la fête du Jour de l’An.
Entrevue avec le Général Didier Tauzin sur TVLibertés
Le Général Tauzin présente ici les grandes lignes de son livre intitulé Rwanda. Entre autres éléments importants, il revient sur l’Opération Virunga de 1993 au Rwanda, communément appelée « Chimère » par la presse. À ce moment-là, la France est en période d’élections, entre les deux tours. Tauzin décrit comment, après le résultat du deuxième tour, Édouard Balladur et Alain Juppé ont décidé de mettre un terme à l’opération qui s’était déroulée pourtant à merveille jusque-là. Malheureusement, la cessation de l’opération devait mettre la table pour ce qui allait suivre, i.e. le génocide, puisque la situation demeurait instable et dangereuse malgré le recul du Front Patriotique Rwandais. Il nous entretient également sur l’action des Peace Corps américains en Afrique. À ce sujet, il raconte une anecdote où l’on voit une représentante de cette agence gouvernementale américaine systématiquement refuser de parler français aux locaux auxquels elle s’adressait pour leur parler dans un dialecte local quelconque. Cela fait dire au Général Tauzin que les Américains passent leur temps à dénigrer la France, ce qui est corroboré par les Africains eux-mêmes sur le terrain. Il affirme aussi que Sarkozy n’a pas réagi à la désinformation accusant la France dans le génocide rwandais qui avait été publiée par Paul Kagamé sur internet. À ce sujet, le Général cite le livre de Pierre Péan intitulé Carnages établissant plutôt la culpabilité américaine, britannique et israélienne. Le minerai serait en cause. Il dénonce également les manœuvres de l’association Survie en Afrique, vers 20:00 minutes. « Tout est fait là-bas par ces gens-là pour couper les relations de la France avec ses anciennes colonies ». Comme avait dit si justement François Mitterrand, les anglo-saxons nous mènent une guerre secrète et impitoyable…
https://youtu.be/tQbqGqpt0ls