Todd Callender s’entretient avec la docteure Ana Maria Mihalcea sur son dernier livre intitulé TransHuman

La docteure Ana Maria Mihalcea s’entretient avec Dane Wigington sur la menace de la géoingénierie

Laura-Lynn Tyler Thompson s’entretient avec la docteure Ana Maria Mihalcea sur la présence de nanotechnologies dans les anesthésiants dentaires

Jane Ruby présente l’étude du docteur Young Mi Lee et de Daniel Broudy sur les anomalies retrouvées dans les injections pour la covid-19

L’étude du docteur Young Mi Lee et de Daniel Broudy est de haut niveau. Elle confirme les données que les membres du mouvement pour la liberté en santé ont amassées depuis décembre 2020. J’ai mis les liens de l’étude en bas de page. Durant la vidéo, Jane Ruby montre des images de l’étude de certaines des structures artificielles qui ont été trouvées dans les injections pour la covid-19 depuis leur déploiement en décembre 2020. Jane Ruby a pris la peine de faire une émission spéciale sur le sujet et on peut certainement le souligner. Jane Ruby de façon générale fait un bon de travail de réinformation en santé et ses analyses sont toujours très pertinentes.

Mais, en toute honnêteté, je dois vous avouer que je suis déçu par son attitude dans ce dossier. Cela ne date pas d’hier mais la sortie de cette étude et la réaction de Jane Ruby m’ouvre la porte toute grande pour que j’intervienne ici. Voyez-vous, cela fait trois années que la docteure Ana Maria Mihalcea et d’autres chercheurs comme le docteur David Nixon, l’ingénieur Mat Taylor, Shimon Yanowitz, etc, ont fait des découvertes importantes soit sur le contenu des injections pour la covid-19 ou encore sur la composition du sang après la réception de l’injection. Ces chercheurs ont publié leurs résultats sur de nombreuses plateformes et ce à plusieurs reprises. Or, à l’ère d’internet, Jane Ruby ne peut pas plaider qu’elle ignorait leurs travaux. De toute évidence, Jane Ruby est très au fait des découvertes de ces chercheurs mais elle a décidé, pour des raisons qui lui appartiennent, de ne pas en parler et de ne pas inviter ces chercheurs lors ses émissions sur Rumble. Jane Ruby a mentionné à plusieurs reprises les travaux de l’équipe espagnole La Quinta Columna mais jamais, à ma connaissance, ceux des docteurs Ana Maria Mihalcea et David Nixon, de l’ingénieur Mat Taylor ou du chercheur Shimon Yanowitz.

Cette attitude, malheureusement, est encore très répandue dans la communauté des activistes pour la liberté en santé. Ces activistes ont tendance à fonctionner en vase clos. Ils parlent et invitent toujours les mêmes personnes et rejettent tout contact avec des gens qui ne font pas parti de leur cercle de personnes de confiance. Cela doit changer sinon, nous ne gagnerons jamais notre combat contre les forces du Nouvel Ordre Mondial. Jane Ruby affirme que l’on ne connaît pas exactement les éléments du contenu des injections pour la covid-19 et donc, que l’on ne peut pas entreprendre un processus de désintoxication afin de nettoyer l’organisme. Le problème, c’est que cela prendra des années sinon des décennies afin que l’on ne le sache exactement. On ne peut pas attendre tout ce temps. Ce que l’on peut faire est de, comme on le dit en anglais, un ‘educated guess’, une estimation basée sur les données en notre possession. Cette estimation peut nous permettre de mettre en place un protocole de désintoxication qui, avec le temps, pourra être amélioré et affiné. Comme on peut le voir ici, Jane Ruby a délibérément refusé de publiciser les résultats des chercheurs comme Mihalcea, Nixon, Taylor et Yanowitz, pour tout simplement attendre que d’autres chercheurs présentent les mêmes découvertes avant d’en parler à son émission. C’est totalement inacceptable. Ce genre de comportements doit changer immédiatement et Jane Ruby n’est pas la seule à tomber dans ce piège. Je le vois à tous les jours lorsque je fais le monitoring des nouvelles publications de la communauté des activistes du mouvement pour la liberté en santé. La docteure Ana Maria Mihalcea a également réagi à l’étude de Mi Lee et Broudy et je joins le lien en bas de page.

Real-Time Self-Assembly of Stereomicroscopically Visible Artificial Constructions in Incubated Specimens of mRNA Products Mainly from Pfizer and Moderna: A Comprehensive Longitudinal Study

Real-Time Self-Assembly of Stereomicroscopically Visible Artificial Constructionsin Incubated Specimens of mRNA Products Mainly from Pfizer and Moderna: A Comprehensive Longitudinal Study

Another Confirmation Of Self Assembly Nanotechnology In COVID Bioweapons: Remarkable Longitudinal Study And Culture Work Of COVID Shots For Up To 12 Months And Cellular Toxicity Studies by Ana Maria Mihalcea, MD, PhD

Read on Substack

La docteure Ana Maria Mihalcea s’entretient avec l’avocat Todd Callender sur les poursuites judiciaires relatives aux injections pour la covid-19

La docteure Ana Maria Mihalcea s’entretient avec la lanceuse d’alerte de Pfizer Melissa McAtee

Entre autres éléments intéressants de la présentation, vous pourrez voir des fioles d’injections pour la covid-19 de Pfizer (vers 11:32 dans la vidéo). Les fioles sont clairement fluorescentes. Aussi, Melissa McAtee démontrent, avec des courriels internes de Pfizer, que de l’oxyde de graphène et des nanotechnologies sont présents dans les fioles d’injections pour la covid-19 de Pfizer. Pendant l’entrevue, la docteure Ana Maria Mihalcea compare ces informations avec ses propres recherches. À voir.

La docteure Ana Maria Mihalcea s’entretient avec Maria Crisler sur les nanotechnologies présentes dans le sang humain depuis le déploiement des injections pour la covid-19

DeAnna Lorraine s’entretient avec la docteure Ana Maria Mihalcea sur l’insertion de soie d’araignée dans l’ADN humain

La docteure Ana Maria Mihalcea s’entretient avec Mark Steel sur le déploiement des nanoparticules et l’agenda de dépopulation

Présentation de la docteure Ana Maria Mihalcea sur les nanotechnologies présentes dans le sang des humains suite à l’injection pour la covid-19

La docteure Ana Maria Mihalcea a fait un travail remarquable pour identifier les nanotechnologies qui se retrouvent dans le sang des vaccinés et des non-vaccinés suite au déploiement des injections pour la covid-19. Son travail d’investigation au microscope complète de façon parfaite celui de l’analyste légale Karen Kingston qui elle, de son côté, s’est attardée sur les brevets scientifiques des nanotechnologies qui ont été enregistrées dans les années précédant la fausse pandémie de ‘covid’. Toutes mes félicitations à la docteure Ana Maria Mihalcea pour son travail acharné de pionnière et d’exploratrice dans le domaine et pour son courage. Bravo!