David Icke rappelle qu’Anthony Fauci doit faire face à la justice pour le rôle qu’il a joué durant la plandémie. Fauci doit répondre de ses crimes devant le tribunal, sinon lui et ses complices recommenceront de nouveau le même manège.
Archives de catégorie : Justice
David Icke fait le bilan de l’opération de la covid-19, suivi d’une analyse de l’arnaque des changements climatiques
David Icke a bien raison. Nous ne devons jamais oublier les crimes qui ont été commis durant la phase ‘covid’ de la Grande Réinitialisation. Ceux qui les ont perpétrés devront faire face à la justice, un jour ou l’autre. La deuxième vidéo présente comment l’inflation provoquée par la montée du prix du pétrole s’inscrit parfaitement dans le plan de match de l’arnaque des changements climatiques.
L’ensauvagement démasqué, sur Nomos-TV
Je joins également la vidéo du premier direct de Nomos-TV. À ne pas manquer.
Intervention de Marine Le Pen à l’Assemblée Nationale pour défendre la liberté d’expression
President Trump rally in Kansas after Kavanaugh confirmation
The Democrats’ version of justice: The lynch mob versus the honest man…
A circus was in town in Washington last week. Barnum? Not really. Bozo the Clown? Neither. In fact, it was worse or better depending on the point of view. Brett Kavanaugh’s Confirmation Hearings for the Supreme Court presented to the American people and to the whole planet such a despicable spectacle that no regular circus in the world could have ever come up with that. It was a disgrace, a travesty, a shame and a dishonor. I must tell you that I didn’t believe a single word I heard in this Hearing, except those coming from Judge Kavanaugh himself. The whole thing was made up, it was a show and a completely fake event. The Democrats are trying to swap the current version of the justice system with their own, where the accused is considered guilty regardless of the proof presented and where lynch mobs replace the jury and deliberation. A Confirmation Hearing is not a trial. It is supposed to be an event where the qualities of an individual are tested and evaluated to make a decision on the fitness for a job appointment. Those who were there to put Kavanaugh on trial were at the wrong address.
I think I have a good idea of what is going on. You see, Democrats, in good socialists that they are, can’t win on the debate of ideas. They loose inevitably because they can’t beat us on rational grounds, since their ideas are irrational and impossible to implement in reality. So now their only way to achieve their goals is to use the good old tricks. Intimidation, harassment, violence, smear attacks, framing, etc. In this case here involving Judge Kavanaugh, a few ‘victims’ were found of crimes that he supposedly committed when he was younger. It is interesting to note that the ‘victims’ all chose this particular moment to talk while they kept silence for the last thirty years… I smell a rat. I think the Democrats are simply throwing the most dirt and s*?# at Trump to try to slow down his presidency, jam any progress in any activity whatsoever of the Administration in an effort eventually to impeach him. Democrats are trying to find ‘victims’ for crimes supposedly committed by employees, partisans, candidates or supporters of the Trump Administration, to be able to pin those ‘crimes’ on the back of Trump and pile up enough material for an impeachment. One wonders what kind of pressure is being put on these women to coerce them to come forward with these fabrications, highly damaging to the people they are targetted to. Some of these ‘victims’ must be in terrible situations, hopeless, to agree to be used like guinea pigs for political purposes. It is really a circus, in all sense of the word.
The justice system works perfectly when we respect its rules and principles. In order of procedure, the victim of a crime reports to the police; the police investigates; if there is enough evidence for charges to be pressed, the police makes a recommendation to the Justice Department to press charges; the Department evaluates the case; eventually, the Department may decide to press charges; if charges are pressed, there is a trial; at the trial the accused is represented by a lawyer and his rights are respected. That’s how justice was served until recently in America and that’s how it should be served, not like the disgusting spectacle that we have seen this week on Capitol Hill. I hope that the Senate Judiciary Committee will change its rules to make it clear that any Hearing should not be used to make a show trial. Any such attempt should be dismissed immediately, declared void or referred to criminal courts. The testimony of Christine Blasey Ford should never have happened in the first place. This was not the proper setting for it.
Interview with the President of the United States, Donald Trump
A good house cleaning is necessary at the Justice Department, starting with Jeff Sessions. What the President is waiting for to fire him? I don’t know. Some say that he would be more likely to do that after the midterm elections in November. The tricky thing with that, is that it takes for granted that the Republicans would keep control of the House and Senate. But what if Republicans lose control of either of these two chambers or even both? Wouldn’t it make the firing of Jeff Sessions even more difficult? I think that the more the President waits to fire Jeff Sessions, the more difficult it will be politically. To go to the midterm elections with new blood and new faces could reinforce the President and his agenda. But of course here, it’s all a matter of interpretation. We are all anxious to see what the President will decide.
Analyse de Nomos-TV sur la suspension du procès Normandeau-Côté
Dans la première vidéo de Nomos-TV présentée ci-dessous, l’animateur Alexandre Cormier-Denis, en compagnie de son invité Richard Le Hir, commente la suspension des procédures dans le cadre du procès intenté contre Nathalie Normandeau et Marc-Yvan Côté, deux figures importantes du Parti Libéral du Québec. Ils font ici une excellente analyse de la situation. Personnellement, je dois dire que je ne suis pas du tout surpris que les procédures aient été suspendues. C’est plutôt logique en fait. Comme le dit si bien Richard Le Hir, «c’est la preuve que nous ne sommes plus en démocratie». Nous vivons sous un régime Libéral depuis 2003, mise à part la brève pause du gouvernement Marois. Il n’y a donc rien qui va se passer dans quelque dossier que ce soit impliquant des haut gradés du Parti Libéral tant que ce régime ne sera pas défait.
Mais j’aimerais élargir ici la lecture de la situation afin que nous puissions bien comprendre la nature du problème auquel on fait face. Voyez-vous, le problème…c’est aux États-Unis qu’il se trouve. Lorsqu’on parle des partis Libéraux du Canada et du Parti Démocrate américain, on parle en fait de la même élite politique. Ce sont des libéraux avec un ‘l’ minuscule. Malgré l’élection de Donald Trump, les patriotes américains attendent toujours que des accusations soient déposées contre Hillary Clinton dans plusieurs dossiers, dont notamment ceux des courriels classifiés et de la transation impliquant Uranium One. Le Procureur Général des États-Unis, Jeff Sessions, semble un peu lent à procéder et plusieurs se demandent qu’est-ce qui se passe au juste. Le Président Trump a commencé à faire le ménage dans son cabinet, un ménage qui n’est sans doute pas terminé. Songe-t-il à remplancer Jeff Sessions? Peut-être. Toujours est-il que l’on a pas besoin d’être un grand spécialiste en analyse politique pour comprendre que tant que le dossier de Hillary Clinton ne sera pas réglé aux États-Unis, il n’y a rien qui va se passer dans ceux des nos bons Libéraux de ce côté-ci de la frontière. Comme je le disais, il s’agit de la même élite politique. Tant qu’ils seront au pouvoir, ils continueront d’agir en toute impunité. Le President Trump doit agir afin de tourner la situation en notre faveur. La deuxième vidéo de Nomos-TV traite du parti de Québec Solidaire. J’ai pensé les publier ensemble, puisque ces deux partis politiques, le Parti Libéral du Québec et Québec Solidaire, ont en commun une chose essentielle: la détestation (sans le dire ni l’avouer publiquement) des Québécois de souche. Toutes leurs politiques et leurs programmes le démontrent amplement. Bonne écoute.
La politisation de la justice dans le monde: Le cas de la bâtonnière du Québec et autres sujets
N.B.: Je vous ai proposé dernièrement un texte sur les péripéties judiciaires dont fait l’objet la bâtonnière du Québec, Me Lu Chan Khuong. Ce texte était ni très bon ni complet. En d’autres termes, il n’était pas du calibre auquel je vous ai habitué, je pense. Je vous propose donc une version remaniée aujourd’hui, qui lui sera plus satisfaisant et éclairant, je l’espère. Le Barreau du Québec a tenu une réunion extraordinaire dans la soirée du lundi 24 août concernant la suspension de la bâtonnière du Québec, ce qui démontre que cette affaire est très importante pour l’avenir des affaires judiciaires au Québec. L’article doit être compris comme un effort de réflexion sur ce qui se passe dans la sphère de la justice au Québec et ailleurs dans le monde depuis quelques années. Bonne lecture.
Les péripéties judiciaires dont fait l’objet la bâtonnière du Québec, Me Lu Chan Khuong, sont intéressantes à plusieurs égards. Tout d’abord, en passant en revue la fiche wikipédia de Me Khuong, on apprend, si on ne le savait pas déjà, que l’avocate est l’épouse de Marc Bellemare, qui a été Ministre de la Justice de 2003 à 2004 dans le gouvernement libéral de Jean Charest. On se souviendra alors que les allégations de Marc Bellemare quant à un possible trafic d’influence dans le processus de la nomination des juges au Québec avait mené à la création de la Commission Bastarache. Ces allégations avaient mis dans l’embarras le Parti Libéral du Québec, le Premier Ministre Jean Charest et son équipe. Il ne fait nul doute qu’un désaccord existait entre Jean Charest et Marc Bellemare, qui n’est peut-être pas réglé même à l’heure où l’on se parle. Ensuite, Me Khuong est d’origine cambodgienne et, toujours selon sa fiche wikipédia, elle milite pour la reconnaissance du génocide cambodgien perpétré par le régime communiste de Pol Pot. Mais elle milite aussi pour défendre l’idée de l’indépendance des juges, idée qui avait justement été mis à mal avec les dénonciations de son conjoint et les travaux de la Commission Bastarache.
Ici, je précise tout de suite que je ne me prononce pas sur les faits qui sont reprochés à Me Khuong. Je n’étais pas présent dans le magasin au moment de l’incident. Je ne peux donc pas avoir d’opinion. Comme blogueur, mon rôle est de faire de l’analyse et du commentaire politique, pas de juger les gens sur la place publique ni de faire des enquêtes policières à la place de la police. S’il y a eu une faute commise, la police et le Ministère de la justice sont là pour ça. Dans le même sens, je crois que le Barreau devrait avoir la même attitude et attendre les conclusions de l’enquête ou du procès avant de suspendre Me Khuong. Avec l’avènement des médias sociaux, des médias de masse et de la société de divertissement, la tendance aujourd’hui est de glisser rapidement de l’allégation vers l’accusation, vers la mise en accusation, vers le verdict de culpabilité, vers la condamnation et le prononcé de la sentence. On doit se garder de tomber dans ce piège. Aussi, j’insiste sur le fait qu’il est malheureux qu’une fuite dans les médias se soit produite dans cette affaire. Normalement, l’affaire aurait dû rester confidentielle et se régler dans le cadre des procédures judiciaires usuelles. Comme le dossier a été médiatisé, Me Khuong a perdu la présomption d’innocence et un dommage a été fait à sa réputation, dommage qui ne pourra peut-être pas être réparé par la suite.
Est-ce que cela fait l’affaire du Parti Libéral du Québec que ce soit Me Khuong qui occupe ce poste, elle qui vient tout juste de prendre ses fonctions le 11 juin 2015? Ces péripéties arrivent en même temps que le congédiement de deux nominations du Parti Québecois, Nicolas Girard à l’AMT et Sylvain Simard à la SAQ. On peut se demander si le Parti Libéral ne serait pas en train de faire du nettoyage afin de se débarrasser de gens qu’il juge comme étant pas assez représentatifs de sa vision politique. Dans un jugement récent, la Cour supérieure du Québec vient de rejeter une demande qui avait été faite par Me Khuong pour qu’elle réintègre ses fonctions immédiatement. Sa suspension demeure donc effective jusqu’à la fin des procédures. Cela tombe mal pour l’avocate. En effet, une réforme du Code des professions qui était en préparation depuis plusieurs années sera présentée bientôt. Selon le site web du Barreau du Québec, le ou la Ministre de la justice du Québec va déposer cette année une loi omnibus qui « réformera le Code des professions et par le fait même la gouvernance des ordres et certaines de leurs activités clés ». Lors de son discours de passation des pouvoirs comme bâtonnière du Québec, le 11 juin 2015, elle était toute fière de dire qu’elle inaugurait une nouvelle ère pour le Barreau du Québec et que la « nouvelle gouvernance » qui s’annonçait ouvrirait de nouvelles perspectives. De façon générale, en lisant le texte de son discours, on a l’impression que Me Khuong est habité par un désir authentique de faire du Barreau du Québec une grande institution et, en plus, de servir la population et de favoriser une justice réelle et efficace. De toute évidence, elle aura de la difficulté à pouvoir être celle qui pilotera cette nouvelle gouvernance, puisqu’elle est suspendue de ce poste. Connaissant les lenteurs du système judiciaire, son mandat sera malheureusement probablement terminé lorsqu’une décision sera rendue.