Les travaux de Steven Greer ont pour but de révéler la provenance de la technologie des OVNIs. Selon les recherches qu’il a effectuées sur le sujet depuis plusieurs années, ces engins sont le fruit de projets de recherche militaires ultra-secrets, dans la presque totalité des cas. Ils ont été conçus et construits par l’homme. Le discours narratif selon lequel des extra-terrestres nous visiteraient depuis d’autres planètes, qu’ils seraient hostiles et qu’ils voudraient conquérir notre planète, est une opération psychologique pour consolider le pouvoir de l’oligarchie à l’échelle mondiale. À voir.
Archives de catégorie : Science
David Icke: ‘Il n’y a pas de nouveau coronavirus’…
La docteure Jane Ruby commente une image provenant du sang d’une personne vaccinée pour la covid-19
L’image de droite montre les globules sanguins d’une personne qui a été vaccinée pour la covid-19, tandis que l’image de gauche montre les globules sanguins d’une personne non-vaccinée qui est en bonne santé. La docteure Jane Ruby fait remarquer que les globules sanguins de la personne vaccinée s’agglutinent les uns aux autres et qu’ils n’ont pas une belle apparence. Aussi, des structures tubulaires non-identifiées sont visibles dans le sang de la personne vaccinée qui, de toute évidence, n’ont pas d’affaire là. Ces structures sont absentes du sang de la personne non-vaccinée. Ces images se rapprochent de ce qui a déjà été publié sur la présence d’oxyde de graphène dans le sang des personnes vaccinées pour la covid-19.
Entrevue avec Stephan Lanka sur la validité scientifique de la théorie des germes
Durant cette entrevue, Stephan Lanka parle de ses recherches sur le VIH et sur les virus en général, sur les causes civilisationnelles de la pensée matérialiste, sur le processus de guérison et sur le changement de la définition du concept de virus en virologie, qui a eu lieu durant la période 1952-1954. Kate Sugak, qui s’entretient avec lui, lui pose aussi quelques questions sur la covid-19 et la vaccination.
David E. Martin: Le SARS-CoV-2 est une illusion fabriquée à partir de la compilation de 73 brevets préexistants…
Cette entrevue avec David E. Martin est absolument exceptionnelle. J’ai fait de mon mieux pour résumer ce sujet difficile tout en essayant de ne pas trop escamoter les détails importants. David E. Martin est le fondateur et PDG de la compagnie M-CAN, oeuvrant dans le secteur de l’analyse financière et de l’innovation. Le champs d’expertise de David E. Martin l’a amené à faire de la vérification dans le domaine des brevets scientifiques, incluant ceux reliés aux virus et aux vaccins, et ce depuis 1998. Lors de cette entrevue accordée à l’équipe de l’avocat allemand Reiner Fuellmich, bien connu pour ses travaux d’investigation sur la gestion de la pandémie de covid-19, David E. Martin fait des révélations absolument incroyables sur les origines troubles pour ne pas dire frauduleuses des publications scientifiques liées au nouveau coronavirus, le SARS-CoV-2. David E. Martin présente beaucoup d’informations pour étayer son propos et fournit les numéros de brevet pour permettre aux chercheurs de faire leurs propres vérifications. Par exemple, d’entrée de jeu, vers 10:00 minutes, il signale que le 19 avril 2002 le brevet US7279327B2 a été enregistré pour un coronavirus (SRAS), bien avant que l’épidémie se déclare en Asie. Il cite aussi le brevet US7220852B1 qui pose également problème parce qu’il reprenait ce qui était déjà disponible dans le domaine public (vers 16:50 minutes). David E. Martin présente également des informations sur la recherche dans le domaine des vaccins et sur certains pathogènes comme l’anthrax. Mais l’information qui est à retenir ici de façon absolument critique est celle-ci: Selon David E. Martin, la séquence génétique présentée par l’article scientifique de référence sur le SARS-CoV-2 (vers 27:00 minutes) ne comporte absolument rien qui n’était pas déjà connu de la communauté scientifique en novembre 2019. Apparemment, cette publication s’appuie simplement sur 73 brevets préexistants qui ont été enregistrés de 2008 à 2017. En d’autres termes, l’équipe scientifique qui a publié l’article de référence sur le SARS-CoV-2 a tout simplement copié/collé les innovations scientifiques présentées dans ces 73 brevets antérieurs à novembre 2019. En termes clairs, cela veut dire que le nouveau coronavirus, le SARS-CoV-2, n’existe pas en fait. C’est une illusion fabriquée, comme l’indique le titre de cette vidéo. On le savait déjà mais disons que maintenant, on en a la preuve légale. Dans une cour de justice, ces informations auront une valeur inestimable. À NE MANQUER SOUS AUCUN PRÉTEXTE. Pour ceux désirant consulter un document écrit présentant ces éléments d’investigation, je vous propose aussi le lien d’un texte de David E. Martin résumant l’ensemble du dossier:
The Fauci/COVID-19 Dossier, par David E. Martin
Les injections géniques pour la covid-19: La marque de la Bête…
Le docteur Thomas Cowan critique certaines notions de la biologie officielle
À partir de la deuxième moitié de la vidéo, le docteur Cowan amène certaines critiques sur la constitution de la cellule présentée par la biologie officielle. Parmi les très bonnes observations qu’il fait, le docteur Cowan se demande comment se fait-il que les ions d’hydrogène ne se rééquilibrent pas du noyau vers le cytoplasme, et vice versa, en passant par le réticulum endoplasmique, qui pourtant laisserait passer l’ARNm. En effet, le pH est différent entre les deux zones, dit-il, et l’existence d’une voie de communication comme le réticulum endoplasmique devrait le permettre. Aussi, il fait remarquer que le noyau de la cellule fait une rotation sur lui-même alors que, toujours selon la théorie officielle de la biologie, il serait attaché au réticulum endoplasmique. L’existence du réticulum endoplasmique est donc peu probable selon le docteur Cowan, puisque celui-ci finirait par être complètement noué à force de tourner sur lui-même. Vers 34:20 minutes, il montre une photographie de cellules où, immanquablement, on ne peut pas apercevoir de structure qui pourrait ressembler à un réticulum endoplasmique. On ne peut voir seulement que le noyau, le cytoplasme et la membrane. Un des éléments centraux dans les thèses du docteur Cowan est que l’être humain est constitué essentiellement d’eau, structurée avec des degrés de densité différents selon les parties du corps.