Derek Knauss l’affirme en termes clairs: les cas de « covid » sont en fait des cas d’influenza…

Le covid est totalement fictif. En effet, aucun laboratoire dans le monde n’en possède un échantillon, puisque personne n’a réussi à l’isoler et à le purifier.

Astrid Stuckelberger: Le Règlement Sanitaire International fait du directeur-général de l’OMS un dictateur…

Lors de ses interractions avec l’Organisation Mondiale de la Santé, Astrid Stuckelberger a remarqué plusieurs choses inquiétantes qui doivent absolument être connues du grand public. D’abord, elle a constaté dès 2009 qu’il y avait une volonté de ne plus former le personnel en intervention en vue de pandémies. L’OMS a même essayé de l’empêcher d’enseigner les techniques d’intervention relatives aux pandémies, ce qui a fait naître chez elle des suspicions par rapport à cette institution. Durant l’entrevue, elle fait référence au Règlement Sanitaire International. Ce règlement a pour but de mettre en oeuvre une collaboration internationale pour aider les pays à faire face aux épidémies. La dernière version de ce règlement date de 2014, alors que les versions antérieures ont été signées en 1969 et 2005. Apparemment, les états signataires de l’OMS ont l’obligation de lui donner force de loi dès son adoption. Selon elle, la dernière version du règlement, celle de 2014, fait du directeur-général de l’OMS un dictateur en cas de pandémie. Aussi, elle signale que Bill Gates aurait demandé à l’OMS le statut d’état-membre et qu’il signerait des contrats à trois signataires, entre lui-même, un pays quelconque et l’OMS, concernant des traitements, des vaccins, des tests, etc. Toujours selon elle, cela expliquerait pourquoi les mesures sanitaires sont à peu près les mêmes partout sur la planète. Elle mentionne également que Bill Gates disposerait d’un genre d’immunité diplomatique. Un autre élément important à retenir selon Astrid Stuckelberger est le changement qui a été apporté dans la définition de certains termes en 2009.  Auparavant, pour qu’il y ait une pandémie, cela prenait un nombre de cas exceptionnellement élevé en mortalité et en sévérité. Maintenant, le seul fait qu’il y ait une maladie qui soit en train de se répandre est suffisant. Un autre terme dont la définition a changé est l’immunité. Pour l’OMS, la seule immunité possible maintenant est celle donnée par le vaccin. La denière chose mentionnée par la chercheure dans cette entrevue concerne le test PCR. L’OMS donnerait un avertissement concernant le test PCR pour dire de ne pas l’utiliser mais, en même temps, l’OMS encourage les pays à utiliser le test PCR pour diagnostiquer la covid-19, ce qui est vraiment étrange. Cette entrevue est à voir et à étudier en détail. Il y a un coup d’état mondial qui est en train d’être effectué sous nos yeux pour faire de la Terre une dictature, un état totalitaire. Rien de ce qui se passe en ce moment n’est légal même si toutes les apparences de la légalité sont là. Partagez cette information svp.

Voyez comment le gouvernement du Québec enfreint la Loi médicale M-9 dans sa gestion de la pandémie de covid-19

Depuis le 13 mars 2020, le gouvernement du Québec fait subir à la population de la province de graves entraves à ses libertés. Confinement, couvre-feu, fermetures de magasins et entreprises, masque sanitaire et lavage de mains obligatoires pour avoir accès à certains immeubles et au transport en commun, etc, tout y est pour enfreindre les droits et libertés des citoyens. Mais qu’en est-il du fondement légal de toutes ces mesures? D’abord, il est bon de rappeler les éléments qui constituent la chaîne de gradation des mesures sanitaires. D’abord, il y a les «cas» de covid-19 qui sont déterminés à l’aide d’un test PCR. Ensuite, il y a les mesures visant à freiner la propagation du virus comme le confinement, le masque, etc, qui sont mises en place, si les pouvoirs publics estiment que le nombre de ces cas le justifie. Et finalement, viennent les mesures pour tenter de résoudre la situation d’urgence médicale, comme le vaccin et le passeport vaccinal.

Au tout début du processus, au moment de déterminer les «cas», il y a un écueil fondamental qui rend tout le processus complètement illégal et c’est là-dessus que je vais m’attarder dans ce texte. Je ne vais pas parler du test PCR lui-même. Cette question a été traitée en long et en large par les meilleurs spécialistes et elle se résume en une ligne: L’inventeur du test PCR, Kary Mullis, a déclaré publiquement, en substance, que ce test ne pouvait pas détecter de virus et qu’il ne peut donc pas être utilisé pour diagnostiquer des maladies. Les gouvernements l’utilisent quand même pour diagnostiquer la covid-19, ce qui est idiot, mais c’est comme ça. Ce qui m’intéresse plutôt ici, c’est de regarder le fondement légal de la procédure du test. Allons-y.

Au Québec donc, quand un citoyen veut passer un test de dépistage de la covid-19, il compose un numéro de téléphone gouvernemental. On donne alors rendez-vous au citoyen dans un centre de dépistage. Et c’est là que ça devient intéressant. Après avoir passé le test, le citoyen retourne chez-lui ou chez-elle et attend le résultat du test. Ce résultat lui est communiqué directement par le centre de dépistage ou le laboratoire et non pas par son médecin traitant. Or, la Loi médicale M-9 du Québec fait la liste, à l’article 31, des activités qui sont réservées au médecin, en 12 points. Plusieurs de ces activités sont délibérément accomplies dans le processus de dépistage par des gens qui ne sont pas médecins. La première et la plus évidente, est celle du point 1:

diagnostiquer les maladies

En effet, seul un médecin peut diagnostiquer les maladies. Or, lorsque le laboratoire ou le centre de dépistage communique avec un individu qui a été testé pour lui donner son résultat, il s’agit bel et bien d’un diagnostic. Normalement, lorsqu’un patient passe par exemple une radiographie ou une prise de sang pour un problème de santé conventionnel, le centre ou l’hôpital qui a effectué l’examen ne communique pas avec le patient pour lui donner son résultat. Il communique plutôt avec le médecin traitant parce que, justement, le diagnostic ne peut être effectué exclusivement que par un médecin. Ce dernier prend le résultat du test qui a été passé, le met en contexte avec toutes les autres données de santé du patient et prend une décision finale quant du diagnostic. Le médecin communique lui-même directement ce résultat au patient. Mais dans le cas de la covid-19, cette procédure n’est pas respectée. Pourquoi? Passons au point 2:

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David Icke présente un résumé complet de l’opération psychologique Qanon

Excellent résumé de l’opération Qanon dans laquelle, malheureusement, beaucoup de patriotes et nationalistes sont tombés durant le mandat de Donald Trump. Cette adhésion aux thèses de Qanon a empêché les partisans de la droite politique de s’organiser collectivement pour appuyer et soutenir le Président Trump. En effet, on leur avait dit: «Trump est en contrôle de la situation. Il a l’appui de hauts gradés de l’Armée. Les mauvais vont se faire arrêter, ne vous inquiétez pas. Trust the plan!» La conséquence de cette adhésion est que les partisans de Trump ont été passifs durant son mandat au lieu d’être actifs. Et le résultat final, on le connaît maintenant: Trump s’est fait voler l’élection et la Présidence, en plus de tout le reste, et ses partisans se retrouvent aujourd’hui en difficulté. La deuxième partie de la vidéo est consacrée à faire le point sur l’arnaque de la pandémie de Covid-19.

Conférence de Kary Mullis, inventeur du test PCR

Voici un extrait d’une conférence du regretté Kary Mullis, inventeur du test PCR. Très coloré et spontané, Mullis était un véritable homme de science. En effet, il tirait ses conclusions à partir des observations qu’il faisait sur le terrain, au lieu de trafiquer et de frauder les faits et les données pour leur faire confirmer une thèse prédéterminée d’avance, comme le font malheureusement beaucoup de «scientifiques» d’aujourd’hui, si on peut les appeler ainsi. Entre autres choses, il raconte ici comment il a été incapable de trouver un article de référence ou une étude publiée auprès des scientifiques de renom, justifiant que le VIH causait le Sida. Merci, Monsieur Mullis!

Kary Mullis raconte comment il a été incapable de trouver une référence bibliographique justifiant que le VIH causait le Sida

Kary Mullis est l’inventeur du test PCR, celui-là même qui est utilisé pour diagnostiquer la Covid-19. Or, il a créé ce test pour prendre un échantillon pour faire de la recherche, pas pour diagnostiquer des maladies. Dans cet extrait d’entrevue, il raconte une anecdote alors qu’il cherchait une référence bibliographique pour justifier que le VIH cause le Sida. Il a cherché en différents endroits et demandé à plusieurs personnes. Une de ces personnes à qui il a posé la question était Luc Montagnier, le virologue bien connu. Montagnier, comme tous les autres, a été incapable de fournir une seule référence pour faire une telle justification. Comme disent les anglo-saxons: «priceless»! À la fin de l’entrevue, un autre extrait suit d’une conférence où le test PCR est abordé. Malheureusement pour nous, Kary Mullis est décédé quelques mois avant que ne débute la pandémie. S’il était toujours parmi nous, il serait en bonne position pour dénoncer l’utilisation frauduleuse qui est faite de son test PCR. Le test PCR n’est pas fait pour diagnostiquer des maladies. Tous les résultats aux test PCR sont donc faux, à 100% et les confinements qui en découlent complètement illégaux. May you rest in peace, my friend.

Conversation entre Denis Rancourt et Tania The Herbalist sur les mesures sanitaires, le test PCR et le vaccin pour la Covid