En gros, ce projet de loi va militariser la psychiatrie, psychiatriser la justice pour permettre à l’état québecois de faire davantage de répression politique.
RÉINFORMATION 11/03/2022 – GLORIANNE BLAIS RADIÉE DU BARREAU
En gros, ce projet de loi va militariser la psychiatrie, psychiatriser la justice pour permettre à l’état québecois de faire davantage de répression politique.
RÉINFORMATION 11/03/2022 – GLORIANNE BLAIS RADIÉE DU BARREAU
John O’Looney est entrepreneur de pompes funèbres depuis plusieurs années. Alors qu’il n’a pas constaté d’augmentation spéciale des décès en 2020, il constate plutôt, depuis janvier 2021, une montée spectaculaire de ceux-ci, coïncidant avec le début de la vaccination pour la covid-19.
Brave Funeral Director John O’Looney Speaks Out On The $camdemic – 8/7/21
Cette entrevue avec David E. Martin est absolument exceptionnelle. J’ai fait de mon mieux pour résumer ce sujet difficile tout en essayant de ne pas trop escamoter les détails importants. David E. Martin est le fondateur et PDG de la compagnie M-CAN, oeuvrant dans le secteur de l’analyse financière et de l’innovation. Le champs d’expertise de David E. Martin l’a amené à faire de la vérification dans le domaine des brevets scientifiques, incluant ceux reliés aux virus et aux vaccins, et ce depuis 1998. Lors de cette entrevue accordée à l’équipe de l’avocat allemand Reiner Fuellmich, bien connu pour ses travaux d’investigation sur la gestion de la pandémie de covid-19, David E. Martin fait des révélations absolument incroyables sur les origines troubles pour ne pas dire frauduleuses des publications scientifiques liées au nouveau coronavirus, le SARS-CoV-2. David E. Martin présente beaucoup d’informations pour étayer son propos et fournit les numéros de brevet pour permettre aux chercheurs de faire leurs propres vérifications. Par exemple, d’entrée de jeu, vers 10:00 minutes, il signale que le 19 avril 2002 le brevet US7279327B2 a été enregistré pour un coronavirus (SRAS), bien avant que l’épidémie se déclare en Asie. Il cite aussi le brevet US7220852B1 qui pose également problème parce qu’il reprenait ce qui était déjà disponible dans le domaine public (vers 16:50 minutes). David E. Martin présente également des informations sur la recherche dans le domaine des vaccins et sur certains pathogènes comme l’anthrax. Mais l’information qui est à retenir ici de façon absolument critique est celle-ci: Selon David E. Martin, la séquence génétique présentée par l’article scientifique de référence sur le SARS-CoV-2 (vers 27:00 minutes) ne comporte absolument rien qui n’était pas déjà connu de la communauté scientifique en novembre 2019. Apparemment, cette publication s’appuie simplement sur 73 brevets préexistants qui ont été enregistrés de 2008 à 2017. En d’autres termes, l’équipe scientifique qui a publié l’article de référence sur le SARS-CoV-2 a tout simplement copié/collé les innovations scientifiques présentées dans ces 73 brevets antérieurs à novembre 2019. En termes clairs, cela veut dire que le nouveau coronavirus, le SARS-CoV-2, n’existe pas en fait. C’est une illusion fabriquée, comme l’indique le titre de cette vidéo. On le savait déjà mais disons que maintenant, on en a la preuve légale. Dans une cour de justice, ces informations auront une valeur inestimable. À NE MANQUER SOUS AUCUN PRÉTEXTE. Pour ceux désirant consulter un document écrit présentant ces éléments d’investigation, je vous propose aussi le lien d’un texte de David E. Martin résumant l’ensemble du dossier:
The Fauci/COVID-19 Dossier, par David E. Martin
Me Blais fait valoir que les efforts du gouvernement du Québec pour faire vacciner les enfants de moins de 18 ans pour la covid-19 ne sont pas légaux. Elle a publié une opinion juridique sur Facebook (qui a été censurée depuis) argumentant que l’administration d’un vaccin expérimental, comme le sont ceux pour la covid-19, ne respecte pas l’esprit de l’article 21 du Code civil du Québec. Elle argumente également que, compte tenu que les informations fournies par le gouvernement du Québec sont biaisées et partielles, le consentement libre et éclairé est impossible.
Voici le communiqué de presse et le document de la poursuite, qui est en fait une demande de pourvoi en contrôle judiciaire.
Lors de ses interractions avec l’Organisation Mondiale de la Santé, Astrid Stuckelberger a remarqué plusieurs choses inquiétantes qui doivent absolument être connues du grand public. D’abord, elle a constaté dès 2009 qu’il y avait une volonté de ne plus former le personnel en intervention en vue de pandémies. L’OMS a même essayé de l’empêcher d’enseigner les techniques d’intervention relatives aux pandémies, ce qui a fait naître chez elle des suspicions par rapport à cette institution. Durant l’entrevue, elle fait référence au Règlement Sanitaire International. Ce règlement a pour but de mettre en oeuvre une collaboration internationale pour aider les pays à faire face aux épidémies. La dernière version de ce règlement date de 2014, alors que les versions antérieures ont été signées en 1969 et 2005. Apparemment, les états signataires de l’OMS ont l’obligation de lui donner force de loi dès son adoption. Selon elle, la dernière version du règlement, celle de 2014, fait du directeur-général de l’OMS un dictateur en cas de pandémie. Aussi, elle signale que Bill Gates aurait demandé à l’OMS le statut d’état-membre et qu’il signerait des contrats à trois signataires, entre lui-même, un pays quelconque et l’OMS, concernant des traitements, des vaccins, des tests, etc. Toujours selon elle, cela expliquerait pourquoi les mesures sanitaires sont à peu près les mêmes partout sur la planète. Elle mentionne également que Bill Gates disposerait d’un genre d’immunité diplomatique. Un autre élément important à retenir selon Astrid Stuckelberger est le changement qui a été apporté dans la définition de certains termes en 2009. Auparavant, pour qu’il y ait une pandémie, cela prenait un nombre de cas exceptionnellement élevé en mortalité et en sévérité. Maintenant, le seul fait qu’il y ait une maladie qui soit en train de se répandre est suffisant. Un autre terme dont la définition a changé est l’immunité. Pour l’OMS, la seule immunité possible maintenant est celle donnée par le vaccin. La denière chose mentionnée par la chercheure dans cette entrevue concerne le test PCR. L’OMS donnerait un avertissement concernant le test PCR pour dire de ne pas l’utiliser mais, en même temps, l’OMS encourage les pays à utiliser le test PCR pour diagnostiquer la covid-19, ce qui est vraiment étrange. Cette entrevue est à voir et à étudier en détail. Il y a un coup d’état mondial qui est en train d’être effectué sous nos yeux pour faire de la Terre une dictature, un état totalitaire. Rien de ce qui se passe en ce moment n’est légal même si toutes les apparences de la légalité sont là. Partagez cette information svp.
Le contenu de cette entrevue est quand même assez technique mais cela vaut la peine que l’on s’y attarde. John Smith de Common Law Court explique ici la différence entre le droit commun, qui s’adresse à l’être humain, et le droit des corporations, qui régit les entreprises et les contrats. Il mentionne que les gouvernements, les agences, les cours de justice et les corps policiers sont des corporations. Pour résumer, l’argumentaire juridique de John Smith est le suivant: Pour être capables d’assujettir les populations au droit des corporations, droit qui permet d’imposer aux individus beaucoup plus de contraintes que le droit commun, les gouvernements ont créé pour chaque citoyen une entité juridique fictive, une personne juridique. Cette personne est présentée sous le titre de Monsieur ou Madame et elle est considérée, par le droit des corporations, comme une entreprise. C’est cette entité juridique fictive qui contracte avec les gouvernements, agences, cours de justice et corps policiers, ce qui permet à ces institutions d’imposer aux citoyens toutes sortes de choses arbitraires, qui seraient impossibles à imposer avec le droit commun. John Smith aborde aussi, évidemment, la question des mesures sanitaires reliées à la covid-19, qui ne sont rendus possibles que par la mise en application du droit des corporations. Il explique, par exemple, que les commerces n’auraient qu’à opérer sur la base du droit commun au lieu d’opérer sur la base du droit des corporations, ce qui leur permettrait de ne pas être assujettis aux mesures sanitaires, puisque celles-ci ne sont pas applicables aux individus selon le droit commun mais seulement aux entreprises. À voir et à étudier.
En consultant ce lien, vous pourrez visionner une vidéo de Jerry Day où ce dernier explique comment refuser une vaccination obligatoire. Ses suggestions pourront s’avérer très utiles dans le cadre de la Covid-19 et autres maladies infectieuses. Vers 6:00 minutes de la vidéo, il donne en référence une page web où on peut télécharger des documents que l’on peut présenter et faire signer aux gens en charge d’administrer un vaccin. Le premier document enjoint le personnel médical à accepter de porter la responsabilité légale en cas de maladies, blessures ou effets secondaires indésirables suite à l’administration d’un vaccin. Le deuxième document énumère toutes les raisons pour lesquelles vous avez le droit de refuser un vaccin et affirme explicitement que vous vous objectez à le recevoir. Le refus de tenir compte de vos objections rendra les administrateurs du vaccin poursuivables en justice. Évidemment, personne ne va signer le premier document ni probablement le deuxième, ce qui permettrait aux citoyens d’échapper à la vaccination. Ça vaut certainement la peine d’utiliser ces outils, si celle-ci devient obligatoire.
L’entrevue porte sur la poursuite judiciaire intentée par un groupe de citoyens contre la Ville de Toronto, les gouvernements de l’Ontario et du Canada, ainsi que la Société Radio-Canada. La poursuite est intentée dans la foulée des mesures sanitaires qui ont été mises en place lors du confinement. Une autre poursuite similaire est en cours au Québec visant le gouvernement du Québec. La même entrevue est répétée en anglais dans la deuxième partie la vidéo.