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La docteure Ariyana Love revient également sur le tragique décès du docteur Andreas Noack, qui avait exposé dernièrement la présence d’oxyde de graphène dans les injections pour la covid-19 lors d’une conférence sur internet.
En preuve, elle présente le brevet enregistré par Moderna le 7 juillet 2020, numéroté US 10703789 B2. Ces nanoparticules d’oxyde de graphène sont injectées à même les vaccins pour la covid-19. Comme elles sont grandement conductrices des ondes électromagnétiques, elles permettent de connecter le corps humain à l’intelligence artificielle via le réseau de communication sans-fil. Il ne s’agit pas de science-fiction. Cela se déroule sous nos yeux et l’humanité est en danger.
Karen Kingston a une longue expérience professionnelle comme consultante dans le domaine pharmaceutique. Pami les éléments intéressants qu’elle apporte durant cette entrevue, vers 17:50 minutes elle mentionne que Moderna, avant de se lancer dans la production d’un vaccin pour la covid-19, était une compagnie spécialisée dans la recherche de traitements pour le cancer. L’oxyde de graphène, que l’on retrouve dans les vaccins pour la covid-19, est justement une substance utilisée dans certains traitements pour le cancer, celui des ovaires notamment.
C’est avec horreur que j’ai visionné cette discussion. Apparemment, selon les données des dernières observations cliniques, les personnes non-vaccinées pour la covid-19 feraient état de symptômes troublants après qu’elles aient été en contact avec des personnes qui, elles, ont reçu le vaccin. Cycles menstruels perturbés, saignements, caillots sanguins, maux de tête, etc. Et comme les personnes vaccinées font état exactement des mêmes symptômes, on peut se demander si ces dernières ne seraient pas en fait contagieuses. La catastrophe est complète. La covid-19 a un taux de mortalité officiel inférieur à 0.1%. Malgré cette statistique dérisoire, les gouvernements de la planète sont en train d’infecter délibérément leurs populations avec une injection génique qui est pourtant censée les protéger. C’est le gouvernement lui-même qui répand l’épidémie et il a le culot de traiter ceux qui émettent des doutes ou des critiques envers les mesures sanitaires de « complotistes ». Les mots me manquent pour décrire le niveau d’insanité auquel nous assistons présentement.
Docteure Madej commence l’entrevue en amenant quelques histoires personnelles. D’abord, elle raconte que, suite à des recherches personnelles, elle a réalisé que le vaccin pour le tétanos a été mis au point dans les années ’70 par le National Institutes of Health et l’OMS pour être un agent de stérilisation et d’avortement. Ensuite, elle raconte qu’elle a été invitée à des rencontres scientifiques et d’affaires voilà plusieurs années durant lesquelles les nouveautés technologiques et médicales que nous voyons être déployées depuis la pandémie de covid-19, lui ont été présentées. Aussi, entre autres éléments intéressants, elle rappelle qu’aucun laboratoire dans le monde ne possède le virus isolé et purifié du nouveau coronavirus. Les laboratoires travaillent plutôt avec une version modélisée à partir d’un ordinateur qui a assemblé «au pif» les milliers de pairs de base du supposé virus.