Je joins également le lien vous permettant de consulter le rapport écrit de cette recherche, publié sur le site Fix The World Project.
Astrid Stuckelberger fait le point sur la pandémie et la Grande Réinitialisation. Plusieurs sujets sont abordés durant cette entrevue, comme les tractations entourant les amendements présentés pour modifier le Réglement Sanitaire International de 2005, la présence d’oxyde de graphène dans les injections pour la covid-19 et les phénomènes paranormaux enregistrés au site du CERN. Selon Astrid Stuckelberger, l’OMS poursuit ses tentatives pour finaliser le texte des amendements au Réglement Sanitaire International, visant à centraliser la gestion des pandémies au niveau planétaire, et ce malgré l’opposition des pays africains. L’OMS redouble ses efforts pour faire avancer le processus de façon significative pour le 1er août 2022, avec comme objectif l’adoption d’un nouveau traité. Astrid Stuckelberger fait remarquer qu’il est curieux que les documents présentant les travaux de la rédaction de ce nouveau traité de gestion des pandémies se trouvent sur un site web autre que celui de l’OMS. En effet, on trouve ce document sur le site du Geneva Graduate Institute.
L’entrevue date du mois de mars 2022 mais elle est toujours d’actualité. La docteure Jane Ruby passe en revue les récents développements dans le domaine de la folie de la vacccination pour la covid-19. Entres autres, elle nous entretient des substances étrangères causant les caillots sanguins et de la présence d’oxyde de graphène dans le sang des vaccinés. Pour davantage d’informations sur ces sujets, visitez cet article précédent.
Entretien de haut niveau entre Maria Zeee et Rima Laibow sur les conséquences de la vaccination pour la covid-19 et l’agenda de la Grande Réinitialisation. Pour ceux désirant visionner la seconde entrevue avec Rima Laibow qui a suivi celle-ci, veuillez consulter article précédent. À VOIR ABSOLUMENT.
Le docteur Robert Young affirme ici en toutes lettres que les images qui nous sont présentées par les médias et les organisations médicales officielles comme étant des exemplaires du SARS-CoV-2 (le virus allégué comme étant à l’origine de la covid-19) sont en fait des images générées par ordinateur. Elles représentent en réalité des exosomes, qui sont des particules excrétées par les membranes cellulaires en réaction à un polluant qui s’est introduit dans le corps humain. La communauté médicale, contrôlée par Big Pharma, la famille Rockefeller et les grands prêtres de la théorie virale, insistent néanmoins pour nous croyions que ces particules sont des «virus», i.e. des corps étrangers venant de l’extérieur. Le docteur Young rectifie le tir ici. Ces particules sont générées à l’intérieur du corps lui-même. Elles ne sont pas des virus, ce sont des exosomes, responsables de réparer les tissus endommagés. Cette présentation du docteur Young confirme les travaux du docteur Andrew Kaufman sur le sujet qu’il a présentés sur le web dès le printemps 2020. Je joins ici la vidéo où il avait présenté ces travaux, après l’entrevue avec le docteur Young sur les ondes du Ramola D Reports.
Les deux premières vidéos sont des reportages de Greg Reese d’Infowars. Il y cite le travail du microbiologiste Ricardo Delgado du site web espagnol La Quinta Columna. Le site a publié dernièrement un article scientifique où l’on présentait les résultats d’une recherche sur les vaccins pour la covid-19. L’étude a démontré la présence de structures ressemblant à des micro-processeurs, similaires à celles que l’on peut voir dans des articles scientifiques. Ces micro-processeurs auraient la capacité de créer des réseaux électriques capables d’interagir avec le réseau 5G et l’internet des objets. Parmi les nombreuses caractéristiques de l’oxyde de graphène, celui-ci aurait la capacité d’augmenter les fréquences dans l’ordre des gigahertz jusqu’en terahertz. 26 gigahertz est une fréquence-clé permettant de faire cela et c’est justement la fréquence d’opération du réseau 5G. La dernière vidéo met en vedette le microbiologiste Ricardo Delgado. Il commente ici les résultats de sa propre recherche. Il y exprime sa colère, en espagnol, par rapport au contenu des vaccins pour la covid-19. Il parle de génocide et de crimes contre l’humanité et de l’absence total de consentement, puisque ces technologies ont été injectées aux citoyens sans que ces derniers soient informés de leur présence. Je joins les versions anglaise et espagnol de l’article scientifique de Ricardo Delgado de La Quinta Columna.
La docteure Ariyana Love revient également sur le tragique décès du docteur Andreas Noack, qui avait exposé dernièrement la présence d’oxyde de graphène dans les injections pour la covid-19 lors d’une conférence sur internet.
Aprés avoir dénoncé la présence d’hydroxyde de graphène dans les injections géniques pour la covid-19, le docteur Noack aurait été tué lors d’une agression. Nous avons peu de détails sur les événements mais disons que cela ressemble drôlement à une exécution. Doit-on soupçonner l’industrie pharmaceutique? Harrison Smith commente l’affaire dans la deuxième vidéo. En gros, les recherches du docteur Noack, s’appuyant sur celles du docteur Pablo Campra, l’ont amené à conclure que les molécules d’hydroxyde de graphène contenu dans les injections géniques pour la covid-19 constituent des genres de lames de rasoir à l’échelle des nanomètres et que celles-ci découpent les artères et vaisseaux sanguins, ce qui mènent à des caillots sanguins et des crises cardiaques.