Archives par mot-clé : Syndicats
Jay Dyer présente le rôle joué par l’Institut Tavistock dans la génèse du monde actuel
Ken Pereira fait un bilan du Grand Reset et présente ce qui nous attend en 2021-2022
Deux entrevues avec Marine Le Pen
Journal hebdomadaire de la Voix de la Russie – 2 décembre 2013 – Spécial Bonnets Rouges
Ce spécial du Journal hebdomadaire de la Voix de la Russie nous amène au cœur du mouvement de contestation des Bonnets Rouge de Bretagne. Composé d’agriculteurs, d’artisans et de travailleurs manuels, ce mouvement a été initié en réaction aux politiques insensées prises à Paris et à Bruxelles par une élite politique, économique et financière déconnectée de la vie réelle du peuple. Partout sur la planète on voit le même scénario se répéter. Alors que les régions sont le poumon et l’âme de toute nation, les dirigeants politiques prennent et appliquent des décisions pour plaire aux grandes corporations et pour satisfaire les exigences du mondialisme, cette nouvelle forme de communisme, et celles du libre-échange, cette lubie de la fausse droite libertarienne qui fait exactement la même chose à l’échelle planétaire qu’elle reproche aux marxistes de faire à l’échelle nationale.
L’illusion Tranquille (2006)
Racket de protection 101 et antisémitisme: Une étude comparative entre les Nazis et le PAJU
Le boycott
Pierre K. Malouf vient de pondre un excellent livre, Les faces cachées d’Amir Khadir, dans lequel, en plus d’analyser le parcours politique et les actions d’Amir Khadir, il raconte méthodiquement l’historique de la manifestation BDS (Boycott-Désinvestissement-Sanctions) qui a eu et qui a toujours lieu sur la rue St-Denis à Montréal contre des boutiques vendant des produits israéliens. Ce merveilleux livre de Malouf a révélé plusieurs faces cachées d’Amir Khadir et il en reste probablement beaucoup d’autres à découvrir. Dans cet article, je voudrais attirer votre attention sur les similitudes qui existent entre les méthodes employées par les Nazis dans les années trente et celles employées aujourd’hui par le PAJU, le groupe organisant la campagne de BDS à laquelle Amir Khadir s’est associé, ainsi qu’entre l’Allemagne des années trente et le Québec d’aujourd’hui.
D’entrée de jeu, on doit réaliser que les Nazis ont commencé à répandre l’idéologie antisémite de façon graduelle en ciblant tout d’abord les commerces juifs d’Allemagne. Comme en fait foi cette photo ci-dessous, les Nazis encourageaient le boycott des commerces juifs. Ils disaient: « N’achetez pas les Juifs ».
Le PAJU, de son côté, nous dit: « N’achetez pas de produits faits en Israël ». Dans cette vidéo, on peut voir le groupe exhiber leur banderole sur la rue St-Denis, en face de la boutique Naot qui vend exclusivement des produits fabriqués en Israël. Rappelons que le PAJU ne manifeste plus en face de la boutique Le Marcheur depuis juin 2011 suite à une légère altercation survenue entre Amir Khadir, qui passait là « par hasard » en voiture lors de la manifestation, et les contre-manifestants. Continuer la lecture
René Lévesque se prononce sur les casseurs…en 1969!
L’intimidation dans les écoles du Québec: « Il va falloir faire en sorte »…
Cette entrevue de Chantale Longpré, présidente de la Fédération québécoise des directions d’établissements d’enseignement, avec Benoit Dutrizac du 98,5 FM est fort révélatrice. Nous pouvons bien dire ce que nous voulons, le Québec reste une société matriarcale, féminine, gauchiste et molle. C’est la réalité. En écoutant cette entrevue, vous aurez l’occasion de sentir toute l’exaspération de l’animateur radio qui n’en peut plus d’entendre toujours les mêmes arguments bidon, les mêmes formules creuses, les mêmes rationalisations de caniveau. On peut tous les résumer par la formule suivante, qui était utilisée ad nauseam voilà quelques années. Il est vrai qu’on l’entend moins depuis un certain temps mais elle demeure fort pertinente pour décrire la mentalité des Québécois en matière de gestion de problèmes: « Il va falloir faire en sorte ». Dans le fond, elle pourrait très bien remplacer le « Je me souviens », puisqu’on ne se souvient de rien de toute façon. Lorsqu’on dit « il va falloir faire en sorte », au fond, on dit quoi? On dit qu’il serait bon que quelqu’un s’occupe de ce problème. Or, ce quelqu’un, c’est personne car il n’y pas âme qui vive qui fera quoi que ce soit pour s’en occuper, puisque personne n’est responsable. Chantale Longpré n’utilise pas cette formule durant cette entrevue, mais elle est sous-entendue et partie intégrante de la culture fonctionnariste et bureaucratique où Madame Longpré évolue, qui est celui du monde de l’enseignement.
Voyez-vous, les réformes de la Révolution Tranquille ont permis au Québec de se moderniser, d’arriver enfin au vingtième siècle et ce avec beaucoup de retard il faut le dire. Elles ont permis de mettre l’Église Catholique en marge de la société, alors que celle-ci prenait beaucoup trop de place et qu’elle empêchait l’épanouissement des citoyens dans la liberté. Elles ont aussi mis un terme à un régime politique qui n’était pas démocratique, le duplessisme, mis en place par feu Maurice Duplessis. Le nouveau régime a créé des programmes sociaux et de nouvelles institutions afin de mieux répondre aux besoins de la population qui était assoiffée de pouvoir enfin s’épanouir dans le monde moderne avec tout ce qu’il comporte. Continuer la lecture
Intervention de Marine Le Pen à la journée spéciale sur le travail organisée par Radio France
Ce que je retiens le plus de cette présentation de Marine Le Pen, c’est la notion de relation affective dans les entreprises, qui n’existe presque plus aujourd’hui malheureusement, en raison de la financiarisation de l’économie et du monde du travail mais également de l’influence des syndicats qui encouragent les sentiments d’hostilité envers les employeurs. Aussi, le partage des bénéfices, qui ne se produit que trop rarement, fait en sorte que le travailleur a l’impression de le fruit de son labeur sert à enrichir les autres seulement. Le développement des compagnies à action a certainement été un facteur déterminant dans ce phénomène, puisque les actionnaires d’une compagnie donnée, parfois situés à des milliers de kilomètres, n’ont d’intérêt que le profit immédiat et se foutent totalement de qu’est-ce qui arrive aux travailleurs, d’où le sentiment de déconnexion que ces derniers peuvent ressentir. Il est grand temps de recréer le sentiment d’appartenance du travailleur à son milieu de travail et cela passe par le partage des bénéfices, et pourquoi pas même au niveau de la gestion de l’entreprise.