Archives par mot-clé : FLQ
Ken Pereira présente l’agenda de la famille Trudeau
Ken Pereira analyse le plan de match de la famille Trudeau. Il s’attend à une attaque sou faux drapeau pour nuire au Québec et aux Québecois très prochainement. Les enfants seront probablement utilisés par les pouvoirs en place pour démoniser les opposants aux mesures sanitaires et bafouer leurs droits.
Ken Pereira: Le plus gros ‘false flag’ se prépare
Ken Pereira présente les raisons pour lesquelles François Legault doit partir
Entre autres faits intéressants, Ken Pereira nous apprend que François Legault aurait vendu ses actions d’Air Transat en 1998 sans le mentionner à ses partenaires dans la compagnie.
Dernier direct de Nomos-TV: L’influence de Pierre Elliott Trudeau et des Desmarais
Entre autres sujets intéressants, ce direct de Nomos-TV traite de l’instrumentalisation du FLQ, et autres sales manoeuvres, pour nuire au mouvement souverainiste québécois.
Les opérations d’influence et d’espionnage du Bloc de l’Est…
Cet excellent documentaire dresse le portrait d’ensemble des opérations d’influence et d’infiltration du KGB et autres services d’espionnage soviétiques dans l’hémisphère occidental. Bien que la Guerre Froide soit officiellement terminée, il est clair que diverses opérations d’espionnage et d’infiltration de notre hémisphère sont toujours en cours, parrainées par divers pays, régimes et intérêts qui nous sont hostiles, ce qui rend ce document toujours très pertinent. Certaines filières, comme la filière cubaine, sont regardées. Certaines techniques de persuasion ou de recrutement, comme le sabotage, l’assassinat, le blackmail et le pot-de-vin sont évoquées. Parmi les points d’intérêts, on apprend que les Weathermen se sont rendus vers 1970 à Cuba pour s’entraîner aux techniques terroristes, sous le couvert d’une organisation militante de gauche appelée la Brigade Venceremos. Les Cubains étaient perçus comme étant à la fine pointe des forces communistes internationales. En octobre 1969, on se souviendra que les « Jours de rage » ont fait des dégâts importants à Chicago. On se souviendra également que c’était l’époque où le FLQ était actif au Québec. Ainsi, vers 1h 03minutes, le témoignage d’un des participants du documentaire nous révèle qu’au printemps 1970, des membres des Weathermen se seraient rendus au Canada pour rencontrer des membres du FLQ afin de tisser des liens plus étroits et coordonner leurs opérations. Bill Ayers faisait parti de la délégation. Aussi, vers 2h00, la question de la désinformation et de faux rapports de renseignement est regardée. Ceci n’est pas sans rappeler les scandales de Wikileaks et des agissements d’Edward Snowden. En effet, dans ces deux cas, autant Julian Assange qu’Edward Snowden ont fourni des quantités phénoménales de documents et de supposés « rapports de renseignement », alors que le public n’a aucun moyen de savoir ou de vérifier s’il s’agit bel et bien de document authentiques. Également, il n’est pas sans intérêt d’entendre une des plus célèbres espionnes russes durant la Guerre Froide, Hede Massing, déclarer vers 29:00 minutes qu’elle a fini par comprendre qu’elle ne combattait pas du tout le fascisme. Elle était plutôt manipulée par les Russes… Un documentaire à ne pas manquer.
https://youtu.be/GFh6qFd1skw
La guerre secrète contre l’indépendance du Québec
Cet excellent documentaire nous présente la guerre secrète que mène le gouvernement fédéral contre l’idée de la souveraineté du Québec. Le Premier Ministre du Canada à l’époque des années du Front de Libération du Québec, Pierre Elliott Trudeau, avait alors mandaté la Gendarmerie Royale du Canada de « faire ce qu’il faut » pour neutraliser le mouvement indépendantiste, ce qui avait mené à toutes sortes d’abus tels manipulations, provocations, cambriolages, incendies criminels, attentats à la bombe, conspirations, etc. Parmi les faits saillants présentés dans ce document, mentionnons le rôle joué par l’agent d’infiltration Carole Devault au sein du FLQ, l’Opération Ham visant à voler la liste des membres du Parti Québécois, le rôle joué par l’agent double Claude Morin au sein du Parti Québécois, etc. Au fond, la question fondamentale demeure celle-ci: Jusqu’où le gouvernement fédéral canadien est-il prêt à aller pour nuire au Québec et aux Québécois? Je vous offre également un documentaire sur le groupe d’extrême-gauche américain The Weather Underground, qui a fait rage à la même époque que le FLQ, et qui présente incidemment beaucoup de similarités avec celui-ci, ainsi qu’une dynamique interne tout à fait semblable.
La campagne de boycott antisioniste sur la rue St-Denis à Montréal: Une inquisition anti-Québécois et une opération nazie/fasciste
Le présent article est le résultat de plusieurs mois de luttes contre le groupe PAJU qui harcèle certains commerçants de la rue St-Denis à Montréal depuis octobre 2010. Je vais donc essayer ici de rassembler les pièces du dossier comme le ferait n’importe enquêteur de police ou d’un autre service. Et je dois dire d’emblée que cet article se révèle à la fois être un résumé, un répertoire, un bottin, le premier d’une série de plusieurs articles ou même l’introduction d’un livre, tant la quantité des liens et des connections est importante à connaître. Tout au long de ces interminables mois durant lesquels je me suis rendu manifester contre le groupe PAJU pour essayer de contrecarrer leurs efforts envers les boutiques Le Marcheur et Naot, et ce parce qu’ils auraient commis l’odieux crime de vendre des souliers fabriqués en Israël selon les dires du PAJU, j’ai toujours eu l’impression que nous n’avions pas les bonnes clés d’interprétation pour comprendre le conflit et, ce faisant, ne nous pouvions alors adopter la bonne stratégie pour gagner la bataille. J’avais l’impression que ce qui se passait dépassait largement les cadres de l’antisémitisme et des dérives de la gauche. Comme pour vaincre une maladie il faut d’abord faire le bon diagnostic, l’honnêteté par rapport aux faits est essentielle. Cette campagne a toutes les allures d’une opération de renseignement de très haut niveau. J’adore les opérations de renseignement, les analyser, les décortiquer…sauf quand elles font paraître mon peuple comme une bande d’idiots ou d’antisémites, ce qui est le cas présentement. J’ai donc décidé de retourner aux sources afin d’avoir une meilleure vue d’ensemble, dans le but de tuer dans l’oeuf ce qui m’apparaît comme une véritable voie de fait contre le peuple québécois. Ce n’est qu’en leur remettant le nez dedans, eux les ingénieurs de cette opération, qu’on pourra la désamorcer.
J’en profite pour clarifier que je ne reprendrai pas l’argumentaire présenté par Pierre K. Malouf dans son merveilleux livre Les faces cachées d’Amir Khadir (Éditions Accent Grave, 2012, 280 pages). Ce serait inutile. Dans une formule tout à fait appropriée, Malouf a affirmé que Françoise David et Amir Khadir représentait « la vitrine présentable de Québec Solidaire ». En ce qui me concerne, partant de là, je vais plutôt m’attarder sur ce qui se trouve à l’intérieur de la boutique de l’extrême-gauche québécoise, pour ne pas dire dans l’arrière-boutique et peut-être même dans la ruelle, si c’est possible. Je m’intéresse aux conditions sociales, politiques, historiques, idéologiques et financières qui ont rendu possible cette campagne de boycott sur la rue St-Denis pour commencer. Aussi, je veux mentionner que je ne prétends pas que tous les liens présentés ici sont nécessairement fondés et pertinents à notre investigation. Tout enquêteur sérieux et compétent est parfois amené à s’intéresser à de fausses pistes et à de fausses connexions, sans le vouloir. Que voulez-vous, ça fait parti du métier et toutes les hypothèses doivent être regardées systématiquement pour en venir à isoler la plus plausible. Néanmoins, les découvertes que j’ai faites lors de cette enquête sont suffisamment troublantes pour mériter que je vous les présente dans cet article. Mais pour permettre à ceux qui ne seraient pas familiers avec la manifestation du PAJU sur la rue St-Denis d’en connaître les grandes lignes, voici une entrevue de Pierre K. Malouf accordée à l’émission En Direct De Nulle Part.
Racket de protection 101 et antisémitisme: Une étude comparative entre les Nazis et le PAJU
Le boycott
Pierre K. Malouf vient de pondre un excellent livre, Les faces cachées d’Amir Khadir, dans lequel, en plus d’analyser le parcours politique et les actions d’Amir Khadir, il raconte méthodiquement l’historique de la manifestation BDS (Boycott-Désinvestissement-Sanctions) qui a eu et qui a toujours lieu sur la rue St-Denis à Montréal contre des boutiques vendant des produits israéliens. Ce merveilleux livre de Malouf a révélé plusieurs faces cachées d’Amir Khadir et il en reste probablement beaucoup d’autres à découvrir. Dans cet article, je voudrais attirer votre attention sur les similitudes qui existent entre les méthodes employées par les Nazis dans les années trente et celles employées aujourd’hui par le PAJU, le groupe organisant la campagne de BDS à laquelle Amir Khadir s’est associé, ainsi qu’entre l’Allemagne des années trente et le Québec d’aujourd’hui.
D’entrée de jeu, on doit réaliser que les Nazis ont commencé à répandre l’idéologie antisémite de façon graduelle en ciblant tout d’abord les commerces juifs d’Allemagne. Comme en fait foi cette photo ci-dessous, les Nazis encourageaient le boycott des commerces juifs. Ils disaient: « N’achetez pas les Juifs ».
Le PAJU, de son côté, nous dit: « N’achetez pas de produits faits en Israël ». Dans cette vidéo, on peut voir le groupe exhiber leur banderole sur la rue St-Denis, en face de la boutique Naot qui vend exclusivement des produits fabriqués en Israël. Rappelons que le PAJU ne manifeste plus en face de la boutique Le Marcheur depuis juin 2011 suite à une légère altercation survenue entre Amir Khadir, qui passait là « par hasard » en voiture lors de la manifestation, et les contre-manifestants. Continuer la lecture
Jacques Brassard en entrevue sur Maurais Live: La gauche québécoise
Ne manquez surtout pas l’extrait d’une déclaration de René Lévesque faite en 1969 sur le phénomène des casseurs, vers 10:24. Celle-ci est d’une grande contemporanéité en regard de ce que nous venons de vivre lors des manifestations étudiantes.